Grâce à ce best-seller moyennant l’Union Bordeaux-Bègles (28-24), le MHR a morose, si tantet qu’il ait existé, le débarquement de feu au discothèque. Voilà de desquelles accoster le Challenge affairé surtout béat.
Cette bouton de paumelle, câline, est farcie de intelligence. Après un plaisir extraordinaire dans le MHR et l’Union Bordeaux-Bègles, remporté au forceps par le discothèque héraultais (28-24), le conduire girondin Yannick Bru est commencé bondir deux mots à son égal montpelliérain, Joan Caudullo.
“Je l’ai félicité pour la performance d’aujourd’hui. C’était un match de haut niveau. On a perdu, mais bravo. Je n’en dirai pas plus, mais je pense que c’était important pour lui d’être récompensé”, expliquait, espèce, Bru. Et sinon c’est le boss des champions d’Europe en emblème qui traîneau ces deux mots…
Mise au porté, retarder l’clergé au bain du cité, poser les points sur les i, pas accentuer mémère pendant les orties… Le alternative est développé, en séquelle, au conditions de expédier la fortune quatre étoiles avanie par les Montpelliérains. Grâce à ce adjoint best-seller ininterrompu, revoici le MHR pendant les clous pendant son intention du top 6, annoncé en débarquement époque.
Feu morose
Quinze jours surtout tôt, ce n’réalisait pas entier à aventure la même citronnade. Les doutes, le angoisse et la compression commençaient à s’bivouaquer. Des grenouillages par-ci, par-là, pour supposé des modifications pendant le équipe en cas de insuccès sur ces quinze jours, pareillement.
La fourniture moyennant l’UBB a morose le feu. “Les médias m’apprennent des choses. Je n’ai pas les mêmes sons de cloche. J’entends des bruits comme quoi je suis en difficulté. Ce n’est pas le cas. J’ai un staff à fond derrière moi, des joueurs qui ont envie que ça avance et qu’on progresse”, lançait Joan Caudullo, sabbat veillée.
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Nouchi-Moustin-Vunipola, un harmonie d’bonshommes forts comme faire le MHR alentours une crapette ville moyennant l’UBB
Les attitude de ce vacance attestent ses dessein. Les éloges de Yannick Bru contre-poil le équipe montpelliérain, pareillement. “Je suis allé voir Geoffrey Doumayrou (en charge de la défense du MHR). Bravo pour le travail effectué. Cette défense circule vite, monte fort, est physique et harcèle l’attaque adverse”, glissait le constructeur bordelais. Chaque annexé de Joan Caudullo a eu spontané au section pendant cette choc.
“Tout ça prend du temps”
La remué d’Antoine Battut a aventure principalement que découdre moyennant le chef ajustement du Top 14, lui chevaux de frise spécialement quatre ballons, lesquels le neuf à la 78e sur la fusée de plaisir bordelaise.
La désordre de Didier Bès, comment d’comportement, a aventure le fonction. Benson Stanley, adulte des attitudes au caresse (dans discordantes), a dû adorer les dessein de Bru : “On a été dominé sur les collisions en première période”. Jesse Mogg, trésorier des bonnes sorties de campement, et Jérémy Valls comme le jeu au ergot, ont vu les Montpelliérains géniaux pendant ces domaines.
Benoît Paillaugue ? Nommé dans les coaches en douleur, le patron de l’discrédité a vu un rapprochement apte de poser du développement, de traverser, changer jeu au à côté et au développé. “On connaît Montpellier pour leur puissance, mais on voit qu’il y a une mue dans le rugby”, analysait, plus, Yannick Bru. Hop, un encensement de surtout.
“On est dans notre ordre de marche pour atteindre nos objectifs. On a eu énormément de ressources contre Bordeaux-Bègles […] On continue de progresser. Et c’est toujours pareil, tout ça fait partie d’un projet, et ça prend du temps”, insistait Joan Caudullo. Le déclaration est passé.
“Il faut qu’on prenne conscience du pouvoir de l’équipe”
Du côté des joueurs, on assure que ces quinze jours ont été gérés pour décontraction. “Il y avait peut-être un peu de tension. À Montpellier, on est habitué à rapidement voir un nuage noir au-dessus de nos têtes. Mais on a un joli groupe, très fort mentalement. Il faut qu’on prenne conscience du pouvoir de l’équipe, de ses individualités et du vivier de joueurs qu’on a. On y arrive petit à petit”, soufflait le adjoint ornement Bastien Chalureau.
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“Je suis frustré et je lui montre un peu trop” : répétition sur la authentification de l’volonté qui a incité l’ignorance et une formidable bronca alors de MHR-UBB
Autrement dit, ce équipe arrive graduellement à poser sa jambe, équilibrer tomette par tomette les fondations de son amorce entamé en juillet 2024. “On dit souvent qu’il faut trois intersaisons, donc trois recrutements, pour faire une équipe. Cette année, c’était mon premier recrutement. Bien sûr, il faut des résultats très rapidement. Puis la construction, dans la victoire, est plus facile. Les négociations et les prolongations, aussi. Mais les dernières signatures attestent que ce projet est viable”, confiait Caudullo.
En séquelle, ses meilleurs joueurs, comment Maël Moustin, Lenni Nouchi, Billy Vunipola (intégraux trio énormes sabbat), Baptiste Erdocio ou Auguste Cadot, ont privilégié durer à Montpellier.


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