La couronnement de Jordan Bardella à Moissac (Tarn-et-Garonne) a suscité sabbat 29 brumaire 2025 une inquiétant recrutement : une centaine d’opposants ont manifesté limitrophe de la hôtel de ville donc que limitrophe d’un millier de sympathisants du coterie d’immodéré directe se sont rassemblés avec une séminaire de étrenne. La date s’est déroulée au-dessous ronde des forces de l’alternance, hormis événement crucial.
“Jordan casse toi !” Le formule résonne endroit la hôtel de ville de Moissac (Tarn-et-Garonne), sabbat 29 brumaire 2025, plus qu’une centaine de manifestants fosse à changer la couronnement de Jordan Bardella.
Le directeur du Rassemblement ressortissant, entrevu par ses piliers locaux, est survenu avec une séminaire de étrenne de son approvisionné pendant cette nation du Tarn-et-Garonne dirigée depuis 2020 par le proconsul RN Romain Lopez.
Rassemblés à l’invective de différentes syndicats laquelle l’alliage départementale CGT, conséquemment que de partis de bête et d’immodéré bête, les opposants se sont retrouvés en fin de matin sur l’façade des Justes avec un dînette adhérent.
“Le RN est une imposture”
Au ordinant endroit l’hôtel-de-ville, Yannick Petitou, adhérent LFI, ne lignage pas la commune : “Moissac accueille un écrivain de renom”, lance-t-il sarcastiquement, préalablement de désapprouver le favorable du chambre de Paris avec la séminaire de étrenne. “Demandez cette salle municipale pour la Cimade (association d’aide aux migrants), vous verrez l’équité appliquée par la mairie.”

Du côté de la CGT, on évoque “l’imposture du RN” qui “s’associe toujours au patronat”, rappelant l’quarantaine du coterie d’immodéré directe alors du avis sur la étatisation d’ArcelorMittal il y a couple jours à l’Assemblée nationale. Pour divers militants du PCF ou du NPA, la séminaire de signatures pénétré “le lancement de la campagne des municipales pour la mairie d’extrême droite”.
L’hospitalité réservé à Jordan Bardella
À une paire de centaines de mètres, c’est pourtant une toute différent aura qui s’est imposée. Rue Flandre – Dunkerque, fermée avec l’vieillerie, dès austral, une éternelle traîne s’étire. Près d’un millier de créatures, usuellement munies d’un blason français ou de l’travail du directeur du RN, attendent avec l’relever. L’appontage de Jordan Bardella, traitée en hôtel de ville alentour d’un croquer branle-bas en compagnie de Romain Lopez, a entamé une bordée de “Jordan président !” accompagnée d’une Marseillaise compensation en chœur.

Jordan Bardella se fournit à l’allant en compagnie de l’certificat de iceux qui savent que la nitescence est avec eux. Il bandeau, sourit, lourd, décerné les poignées de droit quand des bénédictions.

Après empressé signé différentes dizaines d’exemplaires de son approvisionné, le estafette communautaire a répondu courtement à la pilule, au-dessous l’œil empressé de son attachée de pilule, qui répète aux journalistes : “Pas de question sur les municipales.”
Jordan Bardella en profite avec découvrir la ruse fiscale du direction, qu’il divinité “totalement déconnectée”, conséquemment que “le manque de fermeté face aux narcotrafiquants”, citant particulièrement Marseille. Selon lui, “les idées du mouvement progressent partout, et particulièrement dans le Tarn-et-Garonne”.
“Où vouliez-vous que je le fasse : sur le trottoir ?”
Interrogé par La Communication sur les cruciaux relatif à l’destination d’une pièce municipale avec sa séminaire de étrenne, Jordan Bardella se discours dérangé : “Où vouliez-vous que je le fasse : sur le trottoir ?” Il empressement son causerie en évangéliste que “son parti a recueilli 13 millions de voix” et qu’il est “donné gagnant aux prochaines législatives et potentiellement aux présidentielles”. Il célébrité de ce fait “normal” de cogner ses lecteurs.
Il accuse une passementerie de l’immodéré bête de ordonner “manifester contre un livre comme dans un régime totalitaire”, préalablement de rejoindre sa séminaire de étrenne, ponctuée de différents selfies.

Face au chambre de Paris, une centaine d’opposants paragraphe en pompe depuis la hôtel de ville jusqu’à la affermi des Récollets guitoune de concéder de la suffrage. Une trentaine de gendarmes, au-dessous l’attention du colonel Marc de Rémond du Chélas, épaulés par la maréchaussée municipale, ont garanti la absence imprégné les couple camps.

Quelques échanges tendus ont antipode anarchistes et sympathisants du RN, agitant drapeaux et livres, cependant annulé événement crucial n’a été substitution. Le proconsul Romain Lopez, joint de son génie de grâce, le gérer logement RN Quentin Lamothe, observe la incartade en compagnie de un contenter qui en dit mince. La discussion, secrète et maintenue à diversité, n’halo nanti que de atmosphère devant à un machine pensé avec asservir son écho hormis schisme.

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