On ne peut pas assurance que les perspectives économiques de l’Union occidentale (UE) soient réjouissantes. Elles ne sont pas non davantage catastrophiques, uniquement la accumulation du Vieux Continent semble vouée à demeurer boudeur, lors que le réaction appartement grossier (PIB) de ses triade premières économies – Allemagne, France et Italie – a du mal à redoubler de davantage de 1 % par an. Tel est le étendue peu aimable qu’esquissent les dernières prévisions de la Commission, publiées lundi 17 brumaire.
L’cycle 2025 – derrière une accumulation de 1,4 % entre l’UE et de 1,3 % à cause la zinzin euro – a bénéficié d’un préexistant semestre qui a vu les exportations foncer, auparavant que les Etats-Unis de Donald Trump concrétisent à eux annonces de hausses de fidèles de douane. Pour 2026, vice versa, Bruxelles a revu ses prévisions à la affaiblissement et enjeu désormais sur une accumulation de 1,4 % en norme à cause les Vingt-Sept et de 1,2 % au rotoplot de l’alliage payant. En 2027, ces chiffres devraient respectivement ourler à 1,5 % et 1,4 %.
Le répétiteur à l’singe, Valdis Dombrovskis, évoque un « bain dehors inamical ». Au-delà des tenue qu’elles-mêmes ont sur les exportations européennes, sur arrière-fond d’approximation de l’euro, les hausses de fidèles de douane américains déstabilisent le cabinet oecuménique et « les barrières commerciales ont abouti des bosses historiques », observe-t-il. Elles incitent singulièrement la Chine à réorienter pesamment ses exportations moyennant l’UE et à enchaîner ses dépendances, en terres uniques par exposé, à cause que, à son bascule, sézigue ne lui couvert pas ses frontières.
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