La débours compagne a livré un attestation éloquent ensuite détenir été transportée d’obligation à l’hosto, justement blessée.
Nuit d’sauvagerie sur la arrivée de Rio. Dimanche 23 brumaire au veillée, la artiste brésilienne du volleyball, Julia Azevedo, joueuse de l’gréé féminine du Tijuca Volei en Superliga, a expérience un apparition lesquels sézigue a miraculeusement rescapé.
La joueuse de 28 ans présentait en clou, effaçable pendant sézigue à Tijuca (au Arctique de Rio de Janeiro), en escouade de son créateur. C’est là qu’ils ont été ciblés par des assaillants pour une aperçu de vol à paluche matelassée. Une balluchon tirée par l’un des agresseurs a arrivé la sportive en empilé dos.
Un millimètre dans la vie et la stagnation
Transportée d’obligation à l’hosto, la débours compagne s’est prématurément inscrite sur les réseaux sociaux comme apaiser ses fans et sacrifier le événement de sa pérennité, qu’sézigue qualifie de “miracle” : “Hier soir, je suis née de nouveau !” a-t-elle brochure sur son gain Instagram, conformément son discours de son impressionnante contusion. “En rentrant à la maison, j’ai vécu quelque chose que je n’aurais jamais imaginé : j’ai été blessée par balle.”
À ronger ainsi :
Julia Ituma, volleyeuse de 18 ans, retrouvée feue avant son poste ensuite une renversement de six étages
Le prévision est singulier. Julia Azevedo a gazette que la balluchon, réception par son dos, a évité de correction les conséquences les avec dramatiques : “La balle est entrée par mon dos, mais Dieu merci, elle n’a pas touché ma moelle épinière, elle est passée à un millimètre de ma colonne vertébrale et n’a perforé aucun organe, passant à moins d’un centimètre de ma vessie, mais elle est sortie sans causer de dommages majeurs.”

Elle conclut, aussi en deçà le lutte : “Pour très peu, mon histoire aurait pu être différente… Je suis littéralement née de nouveau.”
La “perplexité des médecins” et le lutte du créateur
L’sauvagerie n’a pas épargné son créateur, Marcos Azevedo, qui a lui ainsi frôlé la glas, une des balles détenant “failli le frapper à la tête” puis le raconte la débordement brésilienne.
Il a décrit l’contrariété qu’il a vécue au poulie : “Conduire une voiture et te voir te faire tirer dessus, t’emmener à l’hôpital, prier pour que tu ailles bien, t’accompagner pendant ton examen et voir la perplexité des médecins face à la trajectoire de la balle et au fait qu’aucun organe vital n’ait été touché est quelque chose qui m’a profondément blessé.”
À ronger ainsi :
La artiste du volley hexagonal Earvin Ngapeth guéri en amitié conditionnelle par la intégrité brésilienne
Malgré la restauration apodictique, qui l’obligera à s’décamper du volleyball “pour peu de temps”, la sportive assure : “Je vais aller bien et je reviendrai encore plus forte.”
Son discours est ainsi un cri de malchance facette à la exaltation : “Il est impossible de ne pas ressentir une tristesse profonde face à la violence que nous vivons. On ne peut pas la normaliser.”

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