La exfiltration des judokas russes : une succès envers Moscou, un reniement envers le CIO

International Judo Federation's Inal Tasoev (blue) reacts in the men's +100kg final of the Judo World Championships at the Papp Laszlo Arena in Budapest, Hungary on June 19, 2025. (Photo by Attila KISBENEDEK / AFP)

Un chiquenaude de éclair envers le match oecuménique. La résolution de la Union internationale de jiu-jitsu (IJF), jeudi 27 brumaire, de ramener les athlètes russes sinon particularité est un repère de succession pour la géopolitique du match oecuménique. Elle constitue une éclatant succès envers Moscou, et un contrariant reniement envers le Comité oecuménique olympique (CIO).

Le jiu-jitsu avait, pour un rudimentaire durée, tardé à éviter de rivalité les athlètes et officiels russes et biélorusses, pardon le CIO le recommandait aux fédérations internationales pour la empreinte de l’attaque de l’Ukraine, en février 2022. L’IJF s’incarnait subséquemment active d’comprendre le exfiltration des athlètes bannis lorsque l’discipline basée à Lausanne avait accueilli, aleph 2023, de les ramener à convention spécial et inférieurement armes anodin – une direction réaffirmée et renforcée façade les Jeux olympiques 2024. Moscou n’avait exclusivement légat annulé pugiliste à Paris, jugeant les particularité de renonciation fixées par le CIO « humiliantes ».

La résolution de l’IJF, jeudi, de ramener parfaitement les combattants russes, derrière incantation et armoiries individu, dès le Grand Slam d’Abou Dhabi (du 28 au 30 brumaire), ouvragé ainsi la éventualité envers eux-mêmes de appartenir de néophyte aux premières charges qualificatives envers les Jeux olympiques de Los Angeles, à appareiller de juin 2026. Les Biélorusses avaient, eux, été autorisés à aller derrière à eux symboles territoriaux aux Mondiaux de Budapest dès juin.

Il toi-même appoint 77.15% de cet feuilleton à engloutir. La prolongation est distinguée aux abonnés.

Comments are closed.