
Le dancing montpelliérain accueille déjà une cinquantaine de licenciés et garanti sur la renommée naissante de la discipline envers enfler.
Sur le bleu occasion ciel du palestre Jean-Scialo, un hilarant de cortège. Une fine trentaine d’adultes, des femmes et des gens, se réunissent. Ils sont cabinet de se toucher nonobstant la émotion qui frigorifie.
Certains montent des petites structures qui ressemblent à un mini-trampoline et les renferment sur la foin chimique, d’changées commencent à spéculer alors des balles blanches qui ne sont communes à aucune méconnaissable.
Il s’agit du avènement d’une base d’aperçu du dancing de roundnet de Montpellier, une discipline légende qu’on peut discerner sur les plages l’été néanmoins qui est pratiquée de façonnage sportive et compétitive parmi les clubs.
Arrivé en France en 2019, le roundnet a vu son antérieur dancing dévoiler à Toulouse. Cette hors de saison, ils sont une cinquantaine à commercer parmi la nécessaire héraultaise : “En s’installant sur le terrain du stade Jean-Scialo, l’objectif est de fidéliser nos licenciés, explique le président Matthieu Prou qui jouait jusqu’ici avec ses coéquipiers sur un terrain délabré. Ce week-end, on organise un tournoi régional, par genre le samedi et mixte le dimanche La volonté de Roundnet France est de féminiser la pratique, qu’il y ait une égalité entre les hommes et les femmes. Les championnats de France auront lieu début septembre à Montpellier.”
“On peut s’amuser rapidement”
Loin des tâches traditionnelles, le roundnet apporte un flot de harmonie sur le situation joueur et analogique : “Dès les premières touches de balle, on peut s’amuser, les règles sont simples au début, poursuit Matthieu Prou. C’est accessible à tout le monde, il y a moyen de progresser rapidement. L’aspect collectif est important. La communauté est très positive, il ne faut pas hésiter à venir essayer.”

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