Meurtre de Mehdi Kessaci : “Non, je ne me tairai pas” faciès au narcotrafic, prévu son religieux

“Non, je ne me tairai pas” faciès au narcotrafic, prévu, mercredi 19 brumaire, entre une colloque publiée entre le reçu Le Monde Amine Kessaci, le religieux de Mehdi, affligé jeudi extrême à Marseille par un duo de êtres à chopper.

“Je dirai et répéterai que mon frère Mehdi est mort pour rien. Je dirai la violence du narcotrafic”, autographe aussi le adepte environnementaliste de 22 ans, amorcé entre la bataille parce que le narcobanditisme. En 2020, cette généalogie de six petits avait déjà été endeuillée par l’monstruosité d’un hétérogène de ses frères, Brahim, 22 ans, lesquels le abri avait été retrouvé démasqué entre un coupé.

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“On me parle de crime d’avertissement. Mais un crime n’est jamais un avertissement”, déclare plus Amine Kessaci, qui a brisé mardi son religieux Mehdi. “Voici ce que font les trafiquants : ils tentent d’annihiler toute résistance, de briser toute volonté, de tuer dans l’œuf tout embryon de révolte pour étendre leur pouvoir sur nos vies”, ajoute-t-il.

“Nous comptons nos morts, mais que fait l’État ?”

La raffermissement contrôleuse qui lui a été ajustée ne l’a pas été à ses proches, souligne par distant le adepte environnementaliste de 22 ans. “Pourtant, qui ignorait que ma famille avait déjà payé un tribut de sang ? Comment ne pas savoir que ma famille pouvait être touchée ?”, s’interroge-t-il.

“Face à un tel ennemi, l’État doit prendre la mesure de ce qu’il se passe et comprendre qu’une lutte à mort est engagée”, prévient-il plus.

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“Il est temps d’agir, par exemple de faire revenir les services publics dans les quartiers, de lutter contre l’échec scolaire qui fournit aux trafiquants une main-d’œuvre soumise, de doter les enquêteurs et les forces de police des moyens dont ils ont besoin, de renforcer, de soutenir réellement les familles de victimes du narcotrafic. Nous comptons nos morts, mais que fait l’État ?”

Medhi Kessaci, 20 ans, a été accablé jeudi 13 brumaire à Marseille mitoyen d’une carrée de récital par un duo de monde à chopper, diligemment recherchées, un “crime d’intimidation” et “un assassinat d’avertissement” vers les autorités.

Avec AFP

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