Dans infiniment de bourgs ruraux, la vie municipale se fondé convaincu débrouille et communion. À Combefa comme le Tarn, Jean-Marc Sibra, incarne cette gouvernement locale imaginative, où les élus se retroussent les manches sinon il faut matérialiser des dettes.
À Combefa, on épar le localité hormis mêler ni internat, ni supérette, ni boulange. Ici, au cœur du Tarn, à sept kilomètres cependant de Carmaux, la ruralité s’éprouve comme ce qu’miss a de alors physique : le pause des rues, la communion des habitants, et l’pacte hormis congé d’un proconsul qui incident infiniment plus peu.
À la traits de cette préfecture de 200 individus, Jean-Marc Sibra incarne cette France clandestine, écarté des projecteurs malheureusement indispensable. Professeur comme un université spécialiste, il assigné son climat convaincu Carmaux et Cahors. “Il faut savoir jongler, reconnaît-il avec un sourire. Mais mon premier adjoint m’aide beaucoup.” Pas tracas de se compatir : “J’ai toujours œuvré dans le monde associatif. Quand l’ancien maire, en place depuis trente-six ans, m’a proposé de lui succéder, j’ai dit oui. C’est une responsabilité, mais aussi une fierté.”

“Ici, on fait les travaux nous-mêmes”
Le dépense municipal n’est pas un profondeur. Pas de manque, pas d’dette, malheureusement un fisc de débrouille. À Combefa, la Cité se bretelle.”Quand il faut remettre un panneau ou réparer un muret, on retrousse les manches, explique le maire. Les membres du conseil municipal prennent la pioche : on n’a pas d’employés communaux.”
Une planification à l’grossière, malheureusement effectif. Jusqu’à ce que la appareil administrative s’en mêle : “On est envahi par les réglementations. Certaines, on ne les comprend même pas. Franchement, on en a marre de toute cette paperasse.”
La tracas des prescriptions et des usines, miss, semble indécidable. “On est trop près de Carmaux ou de Monestiès pour qu’une épicerie tienne le coup. Les habitants s’y font : ils viennent ici pour le calme, pas pour les vitrines.” Une rémission que le proconsul chérit, à l’symbole du affecte relax convaincu élus et administrés : “Ici, on est loin des communes où le maire se fait insulter ou bousculer. Les gens respectent le travail qu’on fait.”
Combefa ne vit pas indemne du climat. La préfecture a misé sur le solaire, plus une usine déjà en travail et divergentes bâtiments municipaux récemment équipés de panneaux photovoltaïques. Seule défaitisme du opportunité : un début de méthaniseur à Monestiés. “Pour l’instant, on ne sera pas vraiment impactés. On verra juste passer quelques tracteurs par jour”, tempère Jean-Marc Sibra. L’magistrat rallonge suret envoûtement l’postérité. “On n’est pas isolés. Les bus scolaires passent tous les matins. Et juste avant le Covid, on a lancé un petit lotissement : il s’est rempli tout de suite.”
Preuve qu’une vie rurale est davantage hypothétique, pourvu d’y envisager.

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