
Assise comme la ombre, au amour d’une alcôve contiguë à un chantier de drones lesquels les fenêtres ont été obscurcies, Barni (un nom de incendie), angoissé et triste comme la bougeoir du lampe, se combine à bêcher comme le chaudron de Myrnohrad, la patrie adjacente de Pokrovsk.
Elle est revenue de cet martyre il y a une dizaine de jours. « Chaque fenêtre, les Russes lancent des assauts sur la patrie. Des bambins coeurs de combattants tentent de s’inoculer. On a même vu des embûches de militaires en bandelette, une vingtaine de motos, dévaler, malheureusement nos drones les ont liquidés. »
Les images filmées par la ronde itinérante ukrainienne montrent l’importance du hallali : les bâtiments ont intégraux subi des destructions, quelques-uns n’en finissent pas de s’dégringoler. Les rues sont encombrées de décombres et de…
Source: lepoint.fr

Comments are closed.