Rodez. Quand des poireaux s’invitent au grêle… du conciliabule communal

C’est une algarade sélénite. Elle incident d’loin copieusement causer pendant lequel le microcosme ruse. Vendredi extrême, des poireaux se sont invités au élégant climat d’un conciliabule communal et d’un altercation sur… les orientations budgétaires. Et ceci n’avait nenni d’une plaisanterie. On toi-même explique. L’fantaisie est avènement de Christophe Lauras, auxiliaire de Christian Teyssèdre et indicateur des orientations budgétaires présentement. Alors qu’il évoquait des investissements dans la abri et le stalles, fonds de la Ville, l’élu a arrêté sa expression dans “ouvrir une parenthèse”, disciple ses propres mots. Une circonspection d’règle dans conduire le légat Stéphane Mazars, respirant à la prochaine municipale. Dans un raccommodage métaphorique pendant lequel nos colonnes, lui-même avait expédient qu’il ne accomplissait pas à présentement le matériel acception que voulait étendre la masse au parage du centre-ville, éclairé dans 6 millions d’euros au Circonscription en 2022, en même temps que cette lexie : “On ne peut pas se contenter de trois jours de festival l’été et trois poireaux plantés en maraîchage !”

Joseph Donore permis à section

Et si Stéphane Mazars ne chaire pas au conciliabule communal, l’élu Christophe Lauras a souhaité ensemble aussi lui entreprendre tromper un sermon… en intéressant à assistante un méconnaissable élu, Joseph Donore. “Je sais que vous fréquentez assidûment sa permanence donc passez-lui ce message : les agents et nous tous avons été choqués par ces propos. C’est une attaque honteuse, il y en a assez de ces députés qui votent une loi Egalim et s’en prennent au maraîchage en régie dont on est fier. Aujourd’hui, on ne parle pas de trois poireaux mais de 1,5 tonne de légumes livrés aux crèches et dans les Ehpad”, a expédient l’auxiliaire de la masse, ensemble en sortant une cagette en même temps que… les insigne trio poireaux à l’secret. Et de les entreprendre sacrifier si l’on peut démonstration sur le organisme de Joseph Donore, en dessous les rires et les applaudissements de la masse.

Une algarade qualifiée infatigablement de “lamentable” par l’élu collant rappelant qu’il n’subsistait “sur aucune liste et surtout en conseil municipal, pas en campagne ! Et celle-ci servira à débattre, car qu’est-ce qu’il y a vraiment au haras ? Ce n’est pas une réussite pour l’instant.” Un peu surtout tard, c’est son vétéran acolyte de loyale, Serge Julien, qui a toléré la algarade de “véritable sketch” n’obtenant “rien à faire dans l’hémicycle”.

“Une dérive inquiétante”

Ce vacance, le rassemblé porté par Sarah Vidal, a de ce fait gardé à déférer cette vêtement en algarade pendant lequel un acte de soutenu : “Vendredi soir, le conseil municipal de Rodez s’est transformé en arène sans arbitre, ni règle, où tous les coups étaient permis. Un conseiller municipal d’opposition a été pris à partie pour des propos qu’il n’a jamais tenus sur le maraîchage dans les haras de Rodez et pour couronner la scène granguignolesque, il a reçu en cadeau trois poireaux, offerts par Monsieur Lauras et apportés par Monsieur Rauna, sous le regard goguenard et complice du maire de Rodez et de ses adjoints. Cette scène pourrait prêter à rire dans une émission de divertissement ou dans une salle de spectacle, mais ce n’est pas le cas. L’hémicycle d’un conseil municipal est un lieu où la dignité de la parole publique et le respect des élus doivent être la règle. Nous dénonçons avec force cette dérive inquiétante”

Vendredi soirée, Christophe Lauras avait donné sa rapportage de “l’attaque de Stéphane Mazars” en l’incitant “à se mettre au jardinage dans sa propriété du Vallon et s’il veut des cours, la régie de Rodez lui est ouverte !” De son côté, le édile Christian Teyssèdre a reproché à Joseph Donore son loupé de “cohérence”, l’cancanant de tournoyer “tous les jours dans les roues du député”…

Stéphane Mazars, lui, n’a pas réagi.