Rosalia, Aya Nakamura, Lio, Disiz, Orelsan, Mavis Staples : le supérieur (et le mauvais) des albums du appointement


Novembre se termine, et se déverse avec les rudimentaires caillots, une aspersion d’albums réussis… Ou non ! Rosalía augure un solidarité majestueux verso un opéra en treize langues, Aya Nakamura plant son royauté sur la pop francophone, Orelsan s’interroge en entourée émiettement en façade, et la Britannique Ella Eyre renoue verso la soul. S’ajoutent les respirations précieuses de Stephan Eicher, le come-back brillant de Lio, l’durabilité de Disiz, la adoration gospel-soul de Mavis Staples ou plus les éclats futuristes de FKA Twigs. Du adorable monde à l’exhortation !
 

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Rosalia, « Lux »✭✭✭✭✭

Sainte multilingue

C’est un solidarité long afin la Catalane. Dix-huit bouts, enregistrés en treize langues verso l’Orchestre philharmonique de Londres, donnent agnelage à Lux, ou bien « clarté » en romain, un opéra maximaliste dévolu en quatre évolutions – la pudicité, la rôle, la aise et l’bye-bye – où l’on traîneau de l’lusitanien à l’ukrainien, en excursionniste par l’germanique, l’judaïque, l’sarrasine, ou plus le moral, vraiment le hexagonal sur « Sauvignon alinéa ».

La cantatrice, que l’on savait studieuse et chrétienne, s’est enfermée comme un an afin compléter son carcasse, puisant pendant lequel les récits de vies de saintes, de Jeanne d’Arc à Olga de Kiev, Rosalie de Palerme ou propre plus la pâtisserie bouddhiste Vimala ; et de là surgit un richesse ajusté mêlant flamenco et l’opérette homérique, qui ne flatte ni les playlists ni le utilité des oreilles. De la emploi inaugurale sur le piane-piane film de « Sexo, Violencia y Llantas » où sézigue chante de sa chant auréolée : « D’abord j’aimerai le monde, ultérieurement j’aimerai Dieu », à sa concours verso Björk sur la trombe biscornu « Berghain », Lux fonctionne identique un interlude démesuré, imprudent et pondéré. Un assuré flatuosité de frais, à tester au moins une coup pendant lequel sa vie.

Rosalia, « Lux », Columbia, 7 brumaire.

Alice Durand
 

Aya Nakamura, « Destinée »✭✭✭

Gouvernement sidérée

Avec Destinée, Aya Nakamura ne fosse pas la chamboulement. Son débours microsillon, marqué par une réelle fixité, consolide préférablement un contrée qu’sézigue n’a coupé d’développer : une pop mâtiné, spontanée aux sons du monde, qui passeport verso une souplesse déesse convaincu R & B, rap, zouk, shatta, rose des vents et afrobeats, sinon par hasard tremper pendant lequel les stéréotypes d’un esseulé variété. On y retrouve d’loin de belles collaborations verso Joé Dwèt Filé, Shenseea, ou propre plus la maligne Kali Uchis.

Si l’recueil rebut vigoureusement calibré, des titres zouk identique « Obsession » ou vigoureusement shatta identique « Bueno » rappellent par conséquent Aya domicile au éperon. Consciente que la conflit est désormais propre principalement pressé qu’à ses genèses, de Theodora à Ronisia, sézigue espéré pendant lequel « Désarmer » individu une « matrone aleph » et rappelle pendant lequel « Destinée » qu’sézigue domicile « privée sur le berceuse ».

On regrette exclusivement que, au entredeux de ses chansons d’admiration infiniment efficaces, sézigue ne s’épanche pas surtout. Elle en résumé toutefois la atout pendant lequel « Destinée », où s’espéré une compagnon indépendante, qui s’timbre du lucarne des changées et répond aux décisifs violentes qui l’ont intention. « Maintenant, je me protège, je n’ai principalement soif de humanité », insiste-t-elle. Et lorsqu’sézigue confie : « J’ai les sentiments anesthésiés, éméché de commentaires à abroger, par des moments qui m’ont traumatisée », on se prend à assurer qu’sézigue évidé surtout ce échancrure à l’futur.

Aya Nakamura, « Destinée », REC 118/Warner, 21 brumaire 2025

David Doucet
 

Orelsan, « La Fuite en façade »✭✭

Un peu loin

« Tu l’as requis, tu l’as eu, actuellement assume. » Qu’il doit individu dur, supposé que on est Orelsan, de redevoir sinon cesse commettre plus afin un évident infiniment principalement copieux. La Fuite en façade raconte pertinemment ceci : un quadragénaire récemment procréateur, lessivé par la éclat, visité par ses contradictions, qui comprend qu’il a passé l’établissant de sa lice à incriminer ce qu’il est devenu. Contradictions, qu’il expose d’loin verso génie, pente s’autodétruire réalisation coupole de goulée à décisifs… Mais pendant lequel la efficace vie, ça ne suffit pas infiniment. Pour la Fuite en façade, il faudra simplement changer la fac-similé. L’album, calibré afin combler des salles, navigue sinon chemin honnête, convaincu des bouts UK parking déjà vus, une pop EDM incroyable (sur « Oulalalala »), des commentaires domestiques mielleuses ou des panels de titres multipliant les thèmes (« Internet », « Boss ») identique on voiture des cases.

Orelsan semble attiser rond, séquestré non de son compétence (sa langage est infiniment pleine) cependant de l’distraction d’un expiration contemporain, pente spéculer sur la fréquence préférablement que sur l’éblouissement, ou le retournement de son discours – afin ses concerts évolutions, on s’imagine déjà les moments forts – identique si l’autorisation considéré se gagnait à l’érosion préférablement qu’à la éclair. Certains titres tournent même à trou, identique « Osaka », supposé que d’changées retrouvent la acuité dégradable qui faisait sa apprêté… cependant les punchlines se sont discordantes en vérités retentissantes, qui nous-même semblent désormais paternalistes. Et supposé que Yamê surgit sur « Encore une coup », on se surprend à choisir l’invité. Reste qu’sympathiser Orelsan, que la France adore – il suffira de manger les décisifs complaisantes à son enclin s’en percevoir – pendant lequel une période où le rap s’est événement feutré, procure plus un évident aise. Mais celui-là qui jurait pendant lequel « San » ne par hasard changer la proverbe de ce dernier regarde aujourd’hui l’évaluation d’y charger auprès lui. Seul allègement, peut‑individu : la agitation de l’bide, identique il le chantait en 2009, pourrait propre le réduire principalement contondant que par hasard.

Orelsan, « La Fuite en façade », 7th Magnitude/Sony Music France, 7 brumaire.

Alice Durand

Gaëtan Roussel, « Marjolaine »✭✭

Amour, admiration…

« J’avais attirance d’un fascicule rationnel, spontané, mélodique, liant par la banjo phonique. » C’réalisait la engagement de Gaëtan Roussel au éventualité de la voyage de ce sixième fascicule déclamation. Promesse panache. Marjolaine, enregistrée convaincu l’Islande et la Provence, parle d’admiration, d’compréhension et du durée qui chenal, verso les mots de nos vies quotidiennes. Même s’il ne risque rien des sentiers archi-battus, ce microsillon offrande ce qu’il faut de prose et de tristesse, afin allonger du miel à nos oreilles. À vérifier, un vigoureusement adorable duo verso Bernard Lavilliers, « Lovés », manifeste de crédulité.

Gaëtan Roussel, « Marjolaine », Clap Hands productions / Play Two, 14 brumaire.

Fabrice Dupreuilh

disiz, «  on s’en rappellera pas » ✭✭✭✭

Mue accomplie

Avec on s’en rappellera pas, disiz parachève une transfiguration devenue flagrante depuis L’Amour (2022), fascicule sacré lequel on ne se lasse pas. La Peste s’est évaporée ; ne rebut que disiz, envergure désormais périple environs la clarté, identique s’il avait bref l’embellie. Même s’il n’a contretype nomade de son flow et il le prouve sur « Fin », il a désormais arrivé les berges de la hymne française. Son adorable duo verso Laurent Voulzy, « Surfeur », en est la démonstration : une prolixe inoffensive et matinale qui le conduit environs d’changées rivages.

disiz prouve qu’il n’a contretype nomade de son calligraphie et de sa compétence à vaporiser le précis identique pendant lequel « Rire de bramer » où il se ligature marcher à une allégation à celle-là qui « a le don de réformer le coupe-circuit en or… Tant de coup, pendant lequel ses appuie-bras, je suis déjà extrémité mille coup ».

L’album regorge de moments de aise. « Try Try Try », verso Kid Cudi, est un éperon éthéré. « Melodrama », qui caracole depuis des semaines en élevé des écoutes en France, s’essentiel déjà identique un courant. Foisonnant sinon se transmettre, On s’en rappellera pas confirme une axiome : disiz a arrivé une entourée philosophie et augure un microsillon lequel on se souviendra plus mûrement.

disiz, « on s’en rappellera pas », Carré Bleu Production/Sony Music, 21 brumaire.

David Doucet

Ella Eyre, «  Everything, in time » ✭✭✭✭

Soul, R & B, et funk démodé

Rauque, soul et incertain, sa chant ressemble à celle-là d’une Amy Winehouse couverte voyant une Nina Simone funky. Tout a engagé pendant lequel une ordre locale. La menue Ella Eyre y chantait debout sur les hauts-fonds. Dix ans alors un préexistant fascicule, Feline, la Britannique de 31 ans revient bref verso Everything, in time. La gouvernement du microsillon a été prolixe et travailleuse. Alors que ses collaborations dance décollaient, son fascicule d’compagnon est régulièrement remodelé. Après un living en Jamaïque en 2019, lequel sézigue revient verso des chansons, le spécialité de 2020 l’a esclavage à commettre une tergiversation. Elle impromptu donc une affaire vocale écrin et événement six appointement de correction vocale. Elle tribunal de cette recherche principalement avancé.

Dès la ouverture hymne de l’fascicule éponyme Everything, in time, Ella Eyre explore l’réception de son naturel de feu et de son augure astrologique (mouton) verso distribution. Sur « Head In The Ground », sézigue se oraison par conséquent sézigue a si mûrement fui son âme soul afin une dance principalement commerciale. « High on the Internet » articule verso pétulance à nous embarras aimable avant aux réseaux sociaux. « Marquer cette hymne m’a agréé de moins accuser, confie‑t‑sézigue au Point. Si je disparais une semaine des réseaux, les individus savent que j’essaie similaire de regagner un attitude. » Inspiré par une discours de sa allopathe – « Pourquoi les drapeaux rouges ressemblent-ils à des cœurs ? » –, le single « Red flags & love hearts » éclatant tout à fait la renversé par Ella Eyre de ses influences. Le fétu commence par une suite negro-spiritual façade de retourner témoignage à Lauryn Hill. En quinze titres de soul fort, R & B imprudent et funk démodé, la Britannique s’essentiel identique une bénéficiaire naturelle d’Amy Winehouse. « C’est un formidable félicitation d’individu comparée éclat, reconnaît‑sézigue. On ne peut pas piller ce variété de chant : on nous-même les a moment, éclat identique à moi. Mais nos annales sont vigoureusement changées, et j’essaie de surnager intensément moi‑même. »

Ella Eyre, « Everything, in time », PIAS Recordings, 21 brumaire.

Olivier Ubertalli

Stephan Eicher, «  Poussière d’or » ✭✭✭✭

Vrai éventualité de silence

Quelques guitares, un piane-piane qui respire, deux-trois violons et un harmonica bêlant : il n’en fallait pas principalement à Stephan Eicher afin contresigner Poussière d’or, son dix-huitième opus, l’un de ses principalement délicats, l’un des principalement nus ainsi. On y retrouve la sympathie grossière verso Philippe Djian aux textes, déjà livreuse de contemporain disques recueil, (lequel le glorieux hit « Ronger en silence », déraciné en 1991) et l’esprit désintéressée de Martin Gallop, déjà régulière sur Homeless Songs. Même flair ici, même charité angoissé.

Le monde va mal, Stephan Eicher le acouphène, sinon agrandir la chant : « Qui nous-même a égarés là ? » demande-t-il pendant lequel le cartouche éponyme. « Nous n’avons événement qu’suivre/ Nous n’avons pas su agréer… » Un monde en défaut de la empli, afin laquelle il graille haro : « Sauvez nos entités, pitiés. » Un monde, qu’il faut toutefois poursuivre d’vénérer : « Combien faudra-t-il de abattu/ façade que la félicité revienne ? » Il y a la courage, disséquée pendant lequel « Je plains celui-là » : « Je ne lis principalement les faits distinct, je souhaite bon flatuosité à entiers ces bonhomme » ; la maxime ville qui s’effrite, pendant lequel « On dit » : « On se nourrit de chimères, on événement le dos bulbeux […] On dit, on dit, cependant de lequel monde s’agit-il ? »

Mais la clarté et l’admiration insistent, infiniment, pendant lequel « Toute la appuyé », et tablier pendant lequel « Lumière » où le Suisse de 65 ans s’étonne quasiment : « Je m’étonne qu’sézigue ou bien plus là, cette clarté… Tant nous-même ne la méritons pas », façade la litanie de « Fontaine » : « Amen paradoxe, qu’il en ou bien tel quel » et le contravention de « Cheveux liliaux » : « Ils ont poussé identique le talent/ identique des coups mal refermées/ ils peuvent réformer les visages cependant pas les cœurs, pas les pensées. » Poussière d’or, en paie, est un fascicule sur le durée qui chenal, sur le ardeur qu’il faut afin le franchir, afin ne pas se attrister ou octroyer à la ressentiment. Un microsillon sublime, qui pendant lequel le chahut du monde, offrande un assuré éventualité de silence.

Stephan Eicher, « Poussière d’or », Universal Music Division Barclay, 28 brumaire.

Alice Durand

Lio, « Geoid Party in the Sky »✭✭✭

Pop au femelle

Lio n’a pas poussé sa dernière observation. Souvent sous-estimée, ou résumée à deux tuyauteries intemporels, identique « Banana Split » ou « Les brunes comptent pas afin des prunes », l’idéogramme de la pop française revient dix-neuf ans alors Dites au hobereau délicat, verso un fascicule autofinancé. Aux manettes de ce microsillon consacré à son fiston Diego (le Geoid du cartouche) défunt cette période, une cohue d’autrices, de Jenifer Hayache du bande Superbus à Louane en excursionniste par Hoshi, Corine vraiment Sophie Ellis-Bextor.

Lio y parle tablier d’sézigue (« J’cales un peu banané pendant lequel les années 80/ Mais cette coup pendant lequel le glace, mon représentation me dit “je t’aime” », chante-t-elle pendant lequel le cartouche d’béance « L’Amour de ma vie »), de son traverses, de ses revendications féministes, sinon faux-semblants cependant sinon par hasard brader la chanson. Un microsillon rythmé et épuisé (cependant n’est-ce pas là l’étalon même de la pop ?).

Lio, « Geoid Party in the Sky », Play Two, 21 brumaire.

Fabrice Dupreuilh

Mavis Staples, « Sad and Beautiful World »✭✭✭✭

La chant qui refuse de décliner

À 86 ans, Mavis Staples, idéogramme gospel-soul et camarade de levée du Mouvement des probes civiques cotylédon verso « Sad and Beautiful World » un microsillon de reprise agressive. Sa chant, noble et rayonnante, n’a contretype nomade de sa compétence à alerter. Dès « Chicago », prolongement de Tom Waits, sézigue transforme l’départ en hymne de transplantation, porté par une slide guitar et une alternatif d’martyre. « Beautiful Strangers » déroule un série de coups – pièges, blessures policières – que Mavis retourne en litanie, sinon baragouin.

Le morceau-titre « Sad and Beautiful World » plane convaincu poème et soldes accablant. Au cœur du microsillon, « Godspeed » devient cabriolet aérienne, et « Anthem » (Leonard Cohen) un crédulité fissuré. « We Got To Have Peace » (Curtis Mayfield) réactivation l’avertissement ordinaire, negro-spiritual et soul paumelle pendant lequel la paumelle. La commencement de Brad Cook ligature l’air marcher. Les guitares respirent, les trompes sont insignifiant, la alternatif mobile – un tronc qui s’efface précédemment le tornade de Mavis. Celle qui chanta aux côtés de Martin Luther King Jr. pendant le balancement des probes civiques, qui fut courtisée par Bob Dylan – il lui demanda même sa paumelle – et qui enregistra verso Prince pendant lequel les années 1980-1990, conseiller l’un des albums les principalement poignants de sa lice triomphale.

Mavis Staples, « Sad and Beautiful World », ANTI –, 7 brumaire.

Olivier Ubertalli

​​Danny Brown, « Stardust » ✭✭✭

Le rap hyperpop d’un indemne

De l’historien Aldous Huxley à l’starlette Winona Ryder, le rappeur jongle verso les références sur un ascendant d’martyre. « Copycats », verso Underscores, virginal pop sucrée et rap mortifiant, comme que « 1999 » explose en techno hardcore verso les protestation de Johnnascus.

Quant à « 1L0v3myL1f3 ! », il inoubliable sa recrudescence sur des breaks happy hardcore mutants. La barrière « All4U », est une allégation d’admiration au rap : « Ce tour m’a sauvé la vie » clame Brown, l’original, convaincu le hip-hop de Detroit et l’éclaireur électronique. Un ovni réjouissant qui prouve qu’à 44 ans, chaste et cabinet, il rebut le principalement fou de entiers.

Danny Brown, « Stardust », Warp Records, 7 brumaire.

Olivier Ubertalli

FKA Twigs, « Eusexua afterglow »✭✭✭

Rêve Acide

Apprêtez-vous à détacher environs l’au-delà, pendant lequel un pourtour ajusté désordonné convaincu enivrement vénusien et rassemblement en deçà mordant de rave communautaire. La productrice, vedette et ballerine londonienne FKA Twigs, en éméché pic de imagination – sézigue a livré paire albums en un an – revient verso Eusexua Afterglow, un microsillon démodé novateur de synth-pop et de chanson électronique – un variété décidément à la style, convaincu Brat de Charli XCX et Virgin de Lorde. Afterglow s’vigueur tel quel sur l’béatitude immédiate de « Love Crimes », façade le changement sur « Slushie » ; le duo « Wild and Alone », verso la reine du variété, PinkPantheress ; et le single principalement pop et rationnel « HARD » ; façade la éclair électronique « Lost All My Friends », un trip anxiogène d’après-soirée pendant lequel laquelle l’compagnon perd ses amis, sinon indécision pour d’un surabondance de kétamine.

FKA Twigs, souvent autrice imaginative, cède épisodiquement à des facilités déconcertantes : « Tu es si légère, ce communauté si mobile » chante-t-elle sur « Love Crimes » ou « tu es une constellé, tu es une cahot, parlant globalité le monde de ta clarté » sur « Wild and Alone »… Mais au-delà de ces fabriqué pas, Afterglow rebut saisi identique une recherche cohérente, lequel l’recueil aux uniforme robotiques événement renouvellement d’une éternelle débilité. Un fascicule pénible en paie, identique infiniment pendant l’compagnon, qui essentiel une coup de principalement sa autographe : spéciale, incitative et nuage pénible.

FKA Twigs, Eusexua afterglow, Atlantic Records, 14 brumaire.

Alice Durand

Oneohtrix Point Never, « Tranquilizer  » ✭✭✭

L’orpailleur des sons perdus

Compositeur malin passé par les films des frères Safdie (Good Time, Uncut Gems) et auxiliaire de The Weeknd, Daniel Lopatin différemment Oneohtrix Point Never rebut l’une des figures majeures de la pop expérimentale. Son férule épart fabuleusement l’Atlantique : sur la neuve incartade française, des artistes identique Oklou ou Miki revendiquent fréquemment l’diligent érigé en modèle.

Avec Tranquilizer, Lopatin renoue verso son art du collure et de l’voyage tapageur. Pour préparer cet fascicule, il a fouillé de vieilles banques de sons des années 1990-2000 qu’il tord et réanime. Sur « Cherry Blue », il événement poindre une musique dégradable à défaut un smog de cloches synthétiques. « Measuring Ruins », l’un des bouts les principalement marquants, étire des nappes fantomatiques identique si des commentaires digitaux se mettaient subitement à flairer.

Moins abstrait que ses projets précédents, Tranquilizer déterminé par sa facilité et sa tristesse. Une œuvre sensorielle, déroutante et d’une délicatesse spéciale, qui confirme Lopatin identique l’un des artistes les principalement influents de la chanson électro contemporaine.


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Le Kangourou du fois

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Oneohtrix Point Never, Tranquilizer, Warp/Kuroneko, 21 brumaire

David Doucet
 


Source: lepoint.fr

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