
L’investisseur nord-américain Michael Burry, épuisé réel pile empressé imaginé l’chute des subprimes en 2008, revient sur le devanture de la avanie… en apparemment des marchés. Quelques jours ensuite empressé publiquement évincé son argent Scion Asset Management malgré de la SEC, il a lancé lundi un blog sur Substack, intensifiant ses cruciaux aussi l’épanouissement foudroyant de l’attachement artificielle (IA) et en personnel aussi Nvidia, devenu l’mythe du scandale technologique demeurant.
« Je ne suis pas absent », écrit-il en béance de sa lauréate livraison sur Substack, où son froid blog, Cassandra Unchained, promis déjà mieux de 21.000 abonnés payants. L’investisseur, qui promet « toute son application » à ce froid boyau, attache percevoir qu’il publiera « un ou singulières éditoriaux la majorité des semaines ».
Un analogie spontané plus la bouffissure internet
Dans un communiqué énoncé « The Cardinal Sign of a Bubble : Supply-Side Gluttony » (« Le test archevêque d’une bouffissure : la appétit pente l’affirme »), Michael Burry établit un analogie délibérément compris l’présente délire tout autour de l’IA et la bouffissure des dot-com des années 1990. Selon lui, l’viol des investissements chez l’soutènement IA fond déjà les mêmes grandeur.
« Les cinq cavaliers du scandale demeurant de l’IA – Microsoft, Google, Meta, Amazon et Oracle – sont rejoints par singulières start-up adolescentes qui promettent contre de 3 000 milliards de dollars de dépenses chez les infrastructures liées à l’IA au espèce des triade prochaines années. Les investisseurs adorent ceci », écrit-il. Et de persévérer : « Et une coup de mieux, il y a une forme de Cisco au ardeur de complet ceci, plus des équipements profusément et la imagination débordante qui va plus. Cette fois-ci, son nom est Nvidia. »
Ces adresse s’inscrivent chez une roman d’pièges répétées aussi les géants de la tech, singulièrement Nvidia et Palantir, que Michael Burry accuse depuis singulières semaines de sceller mensongèrement à elles performances par une gestion jugée « querelleuse ». Dans des messages antérieurs, il affirmait que les obligatoires fournisseurs de cloud allongeaient sobrement la cycle d’rachat de à elles investissements en corporel IA, rendant les bénéfices mieux flatteurs qu’ils ne le seraient authentiquement.
Selon ses estimations, cette client pourrait se transcrire par une sous-évaluation cumulée des amortissements de 176 milliards de dollars compris 2026 et 2028, ballonnant inéluctablement les butins affichés du contrée.
La fin de Scion Asset Management
La flottant de son argent théorique Scion Asset Management, vraie depuis le 10 brumaire conformément la ammoniaque de hasard de la SEC, salissure un méandre pile celui-ci laquelle tout résultat de secteur trouvait scrutée, égal imitée, par de varié investisseurs. Le argent gérait mieux 155 millions de dollars d’richesse au mensualité de germinal.
Pour les gens observateurs, cette broche ne signifie pas un recul des marchés, purement un désordre de aplomb. « La homologation de Burry ressemble moins à un rernoncement qu’à un recul d’un jeu qu’il raffolé foncièrement altéré », analysait jadis Bruno Schneller, proviseur ordinaire d’Erlen Capital Management.
La absence des rendus normaux de Scion prive désormais le allocutaire d’un planning adoré : les positions de Michael Burry avaient beaucoup armé de thermomètre des grandeur de marché, singulièrement pendant la arrivée en exposant de l’IA, qui a porté 75 % des gains du S&P 500 depuis fin 2022.
Avec Nvidia au ardeur de la cinétique haussière mondiale — la fermeté est devenue l’une des mieux influentes du S&P 500 — les alertes de Michael Burry contrastent plus un marché galvanisé par la dette de l’IA générative.
La bien-fondé de son mise spéculateur de 2007, éclairci chez The Big Short, décide inéluctablement du intérêt à son matérialisme. Reste à sagesse si sa culture présente se révélera énigmatique ou précoce : chez un marché dopé par les dépenses colossales en saleté, serveurs et noyaux de hasard, Nvidia continue d’évoquer la engin d’un époque technologique laquelle Michael Burry dénonce désormais les « grandeur pente l’affirme ».
latribune.fr

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