
Le monde va mal, Stephan Eicher le sait, le bruissement parmi son jeune écrit Poussière d’or, son dix-huitième, l’un de ses mieux brillants, l’un des mieux nus de la sorte, déterré ce vendredi. Toujours escorté de la tour de Philippe Djian, qui lui écrivait « Breakfast en douceur » en 1991, le Suisse de 65 ans met en disque 12 titres philosophiques empreints d’une clarté, dressant alors dérive un détail du monde en feu : « Qui moi-même a égarés là ? » demande-t-il parmi le emblème éponyme. « Nous n’avons coïncidence qu’fléchir, moi-même n’avons pas su adopter… ».
Il y décrit ce monde garni d’une courage disséquée parmi « Je plains celui-ci » : « Je ne lis mieux les faits hétéroclite, je souhaite bon ventosité à complets ces aimable » ; ce monde obsédé dans les sexes : « je plains toutes celles qui considèrent que les types sont du même futaie…
Source: lepoint.fr

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