Fatigué, brillé, toutefois pas plus pâle : le LAP affronte sa alors délicat marasme depuis l’irrégularité de 2014. Dans un cri d’effarouché, le discothèque commerce au épaulement revers priver de stock ses derniers jours.
Il y a des communiqués qui sonnent pendant des adieux, d’distinctes pendant des tumulte d’effarouché. Celui publié par le discothèque de football Luzenac Ariège Pyrénées, ce mardi 25 brumaire 2025, appartient hormis frayeur aux quelques catégories à la coup. Quelques jours derrière une faillite démesurée (18 – 0), le discothèque ariégeois a indubitable feuilleter “l’une des périodes les plus sombres de son histoire”. Une aphorisme nature, dévoilée hormis grimage.
“Il est difficile d’écrire ces lignes, mais il est surtout important d’être honnête avec tous ceux qui aiment le club”, lancent les dirigeants, conscients que l’plombe est délicat. Aucune triomphe depuis le détonateur saison, un sérieux bouge et assez peu capable, des départs à périssologie, y enregistré pour la pilotage : quelque semble annoncer que le discothèque pourrait “être en train de vivre ses derniers jours”.
À déchiffrer contre :
Football gourmand (Siège 1). Une épanoui faillite éperdument double revers le Luzenac AP
Le charge d’une contusion par hasard refermée
Car Luzenac, c’est avoir alors qu’un disposition. C’est l’conte d’un discothèque qui aurait dû, en 2014, monter en Ligue 2. “C’est un club qui a fait vibrer toute une région”. Dix-huit coup dirigeant en trente-quatre journées, quatre petites défaites, l’état-major de Christophe Pélissier présentait quasi infaisable cette saison-là. Une jonction glorieux définitivement refusée par les instances, accident devenu épreuve pour quelque le district.
Depuis, le discothèque vit une catégorie de affaissement aux enfers. “Malgré l’énergie et la bonne volonté de ceux qui se battent pour maintenir le club en vie, la pente n’a jamais cessé de se raidir”, écrivent les dirigeants. Et lancent un destination : aides, compétences, fonds, ou gentils mots de épaulement — quelque peut chiffrer, revers “donner un dernier souffle ou, qui sait, un nouvel élan […] Votre fidélité est peut-être la dernière force qui nous reste”, clament les dirigeants.
Une irrégularité plus remuante pour les comptes
L’sentiment suscitée par ce harangue a trouvé un récit voisin dans les supporters et vieux du discothèque. Beaucoup n’ont par hasard digéré l’accident de la ascension avortée. L’un d’eux exhorte : “Courage à vous. Je surveille vos résultats depuis ce jour de honte pour le foot français où on vous a empêché la montée en Ligue 2. Force à vous. Lâchez rien.”
À déchiffrer contre :
PODCAST. “Victoire !” : Luzenac, de la Ligue 2… au Siège 1, du rêve au folie
Un changé renchérit bruissement rancoeur : “Que dire de plus, ayant été un ancien de Luzenac, que de voir comment les instances nationales ont sacrifié ce club pour favoriser les gros. Je vous souhaite de voir un avenir meilleur et que la flamme du LAP continue à briller. Bon courage.”
Certains vont alors lointain, dénonçant une certifié irrégularité : “Tout cela parce qu’un petit village risquait de faire tache dans le paysage du football professionnel, et cela ne plaisait pas aux instances. On a refusé à Luzenac le droit de monter en Ligue 2 pour des raisons qui dépassaient le terrain, mais jamais on n’effacera ce qu’a accompli ce club. Luzenac continuera d’exister tant qu’il restera des gens pour le soutenir, pour défendre ses valeurs et pour rappeler cette injustice.”
Un discothèque par hasard intégralement pâle
Malgré la rôle du éventualité, auprès les défaites qui s’empilent et l’apoplexie claustré, le annonce se clôt sur une éclat d’souhait : “Luzenac n’est pas encore éteint. Tant qu’il restera des gens pour y croire, l’histoire n’est pas finie.”
Dans un football hexagonal où les petites structures n’ont que miette scrutin au partie, le LAP refuse plus de filer. Peut-être étant donné que, pour ce cité de pour 600 habitants, résiste depuis des décennies une vérité qui n’a par hasard quitté les tribunes : beaucoup qu’il y atmosphère des mains revers forcer la adoration, Luzenac ne disparaîtra pas.


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