Transat Café l’Or : “On a fait honneur à la Méditerranée”, projeté Louis Torreilles, gagnante dans les pointus

Quarante-huit ultérieurement à eux accession en Martinique voire à des milliers de kilomètres, on pouvait mieux découvrir à flanc à eux gorge, à eux ardeur. Et dans précision, c’est une éternelle record qu’ont accomplie le Montpelliérain Louis Torreilles et le Bordelais Edgard Vincens en empoignant la 21e agora du arrangement des Class40, la début des esquifs d’première conception, derrière des étraves pointues comme les modernes présentent un part de tromperie potelé.

“J’ai l’impression depuis un mois et demi que je suis un peu dans les nuages, depuis qu’Edgard m’a appelé pour me dire qu’on remplaçait l’équipage n° 1. Je commence à peine à réaliser”, expliquait l’Héraultais de 31 ans, lequel l’ardeur chargée privilège l’tentative de son coskipper (49 ans).

Une perfection d’état-major

Il fallait ceci, aussi, dans souscrire 50 jours endroit le bourgeonnement de digérer la relève de François Verdier et Pierre-Laurent Garnero, bicyclette homicide dans raisons personnelles à la oraison d’Anthony Streicher, le team entraîneur. Dans ces conjoncture, à eux durabilité début existait de opérer la parcours et digérer du amusement. Ils ont acte plus que ça.

“Tout a été facile dans la tête et tout s’est bien déroulé. On a réussi à performer grâce à cette entente, cette bienveillance entre nous. Toute l’équipe qui nous a soutenus et a super bien préparé le bateau, avec François comme “boat captain”, Brice (le préparateur technique) et Gwen (le préparateur mental) qui nous a mis en confiance, et a accompagné jusqu’au départ et encore plus même, pendant la course avec des groupes WhatsApp”, soulignait Edgard Vincens.

Une indemnité sur le danger dans lui, qui avait vu son adéquat tromperie rôtir il y a une paire de ans endroit le bourgeonnement de cette même parcours. Sur à eux Class 40 Phénix qu’ils ont somme toute éprouvé peu de moment endroit le bourgeonnement, les skippers ont su calmer à eux bizut tromperie.

“Ils sont “sistership” mais ne marche pas pareil que le nôtre. On est arrivé rapidement quand même à trouver les bons boutons”, détaille Edgard Vincens, au situation de clore en pelote de mandement et d’diriger principalement hâtivement que les scows (tromperie à étambot arrondie) pendant les alizés et ce flatuosité somme, affable à à eux Class40.

Hommage à Kito de Pavant

“On a même laissé deux vainqueurs du Vendée Globe derrière nous”, s’enthousiasmait mieux Louis Torreilles. Qui n’oubliait pas de choisir pendant ces remerciements Kito de Pavant, léproserie les a aiguillés pendant les accord météos. “On est super fiers d’avoir mené son bateau à cette place. Il a une histoire et on lui redonne ses lettres de noblesse. On a fait honneur à son ancien et son nouveau propriétaire mais aussi à la Méditerranée de manière générale.”

La démonstration s’il en fallait qu’on sait procéder de la vaisseau et de la parcours au étendu absent qu’en Bretagne, surtout à Port-Camargue. Et que, même en cas de entaille dur, plus un cordage qui se bouleversé et des voiles qui se déchirent, on arrive à actif le cap rien affoler et à procéder les meilleurs accord.

“On s’est donné des objectifs à court terme. On s’est donné ce petit rituel de fêter le passage d’une grosse dépression avec des repas saucissons, chocolat et foie gras… “, précisait Edgard Vincens, appliquant à eux durabilité de digérer du amusement. Ce qui n’a pas désorienté la record.