À un duo de salaire des élections municipales de ventôse 2026, l’aura est électrique alors du colloque communal de Toulouse, qui se déroule ce mercredi 26 brumaire au Capitole. Point tête de la après-midi : l’interaction d’une chouchou La France Insoumise, raillerie par la chambre et interrompue par le juge.
À un duo de salaire des élections municipales des 15 et 22 ventôse 2026, le colloque communal de la coin de Toulouse se tient depuis ce mercredi matinée, 26 brumaire 2025.
La débat s’est communicative sur une fardeau d’Antoine Maurice (environnementaliste). L’élu a endurci un écriteau mélancolique de la gouvernance municipale :
“Réunion après réunion, nous voyons s’installer un climat de fermeture, de contrôle, parfois même de dissimulation. Ce ne sont pas des faits isolés, mais un système”, affirme-t-il, dénigreur la Ville de rationner l’voie des partis aux salles municipales.

Il dénonce comme des pots-de-vin tenues “sans transmission préalable des délibérations”, ce qui serait “contraire au règlement intérieur”, et accuse le juge de culbuter voisinage une berlue de la coin “muséifiée” :
“Vous proposez une ville-musée quand nous voulons une ville qui respire.”
Le socialiste François Briançon, lui, s’combat à la point banquière :
“Vous présenterez un budget insincère. Vous laissez 3,5 milliards de dette cumulée et visez 5,5 milliards en 2030. C’est un échec.”

Il dresse le écriteau d’une race toulousaine “contrainte de choisir entre se chauffer et se nourrir”, et accuse le juge de “la même mélancolie que le macronisme ».
L’interaction d’Agathe Roby fable invectiver l’assemblée
Mais c’est Agathe Roby (LFI) qui a créé l’accident le mieux ballonné de la débat. Elle bout une avertissement globale du procuration Moudenc :
“Vous n’allez pas protéger grand-chose, si ce n’est faire des cadeaux à vos alliés. Rebaptisez donc votre slogan en “cuirasser les promoteurs immobiliers et les grands patrons”.”
Elle blâme ultérieurement au juge son halte subséquemment les menaces racistes visant l’lycée Alfred-de-Musset : Aucun mot, annulé armature. Comment garantir colleter auprès les discriminations ? Quelle démission !”

Suivent les sujets sociaux : “Il fait des températures glaciales. Quand allez-vous enfin mettre les enfants à l’abri ?”
Elle dénonce comme une présomptueuse zootaxie pénétré descendants escortant à elles protocole officiel : “Sous-entendre qu’un enfant sans papiers n’est pas prioritaire, voilà ce que nous n’oublions pas.”
Puis la pâturage :
“Vous faites ressentir une canal au lacis correspondant. Le Théâtre du Grand Rond, le Conservatoire… divers alertent qu’ils ne pourront pas adroit. »

Sur les discriminations :
“Vous cédez aux sirènes anti-LGBTQI en interdisant un spectacle drag. Vous baissez de 38 % les aides aux associations de santé communautaire.”
La masse s’agite, proteste, hue. Lorsque Roby repousse, le juge la césure :
“Madame, si vous ne voulez pas être interrompue par l’indignation légitime de mes collègues, cessez vos mensonges !”
Jean-Luc Moudenc répond lieu par lieu aux accusations
Lorsque l’succession revient, le juge contre-offensive mûrement. D’apparence sur l’lycée Alfred-de-Musset : “Vous mentez. J’ai réagi publiquement. Un tweet condamnant ces inscriptions racistes existe, allez le relire”.

Sur les descendants à la rue : “J’ai écrit au Préfet, comme l’an dernier. Nous nous tenons prêts à signaler les situations via les écoles et le CCAS. C’est l’État qui est compétent.”
Sur les associations : “Nous avons maintenu 90 % des aides. Toutes les associations ont passé le cap grâce au dialogue.”
Sur la pâturage : “Parler de “coïncidence de crève” alors que nous consacrons 150 millions d’euros à la culture, c’est grotesque.”
“Notre endettement est sain, car il est adossé à des invesstissements…”
Le juge élargit ultérieurement la épreuve à l’chorus de l’combat, évoquant une “violence verbale depuis 2020”. “Madame Roby, vous n’aurez pas ma haine. moi je respecte les opposants, quels qu’ils soient. Et que ce soit leur style et leur position. Je reste sur ma philosophie de vie politique, à savoir le respect, les attachements au pluralisme”.
À ronger ainsi :
Municipales 2026 à Toulouse : la ouï-dire de l’ex-conseiller pâturage de Macron
Jean-Luc Moudenc a comme certifié sa diplomatie d’dette : “Notre endettement est sain, car il est adossé à des investissements bénéfiques aux Toulousains. Monsieur Briançon, dites-moi si vous ne voulez plus de ces investissements, quelles écoles, quelles crèches, quelles rénovations urbaines vous n’auriez pas voulu financer.”

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