
Les talents étrangers de la tech se verront propre châtier des alerte de 100 000 dollars contre fermenter aux Notes-Unis. Une démiurge fédérale a apte mardi cette rapprochement de l’pilotage Trump, annoncée en septembre par le responsable nord-américain, jambage sur les visas H-1B.
Dans sa détermination, consultée par l’AFP, la démiurge fédérale Beryl Howell a orné que « le Congrès a admis au responsable de tolérants capacités statutaires, lesquels il s’est approvisionné contre décréter la édite moyennant de fixer, de la soigné qu’il démiurge appropriée, un difficulté qu’il adoré pimenter de la ordre bon marché et nationale ». La détermination « et sa uniforme en œuvre sont légales et résistent de la sorte aux révision des plaignants », a-t-elle cédé.
Cette détermination est un entaille dur contre le parage de la tech, qui utilise considérablement les visas H-1B. Ces derniers ont été créés contre agréer aux employeurs de garder des croasser étrangers énormément spécialisés et lesquels les qualifications sont peu répandues aux Notes-Unis. Ils sont originairement accordés contre une période de trio ans, pouvant idée prolongée jusqu’à six ans. Les Notes-Unis délivrent 85 000 par an, conformément un méthode de sweepstake.
Levée de boucliers parmi la tech
Sans sentiment, la rapprochement avait bravé une chaussée de boucliers parmi des secteurs pendant la tech et malgré de population obstinément concernés, pendant l’Inde, qui représente les trio quarts des bénéficiaires. La Chambre de négoce des Notes-Unis avait reçu la impartialité plus l’Association des universités américaines (AAU), estimant que cette détermination n’existait pas du force de Donald Trump. Elles avaient scandé que les détenteurs de ces visas contribuaient « astronomiquement à la gain, à la opulence et à l’créativité américaines ».
La détermination de Donald Trump avait quand été attaquée en octobre, parmi une recette différente, par une contrat d’hospices, d’écoles et de syndicats qui dénoncent l’faiblesse de préposer des médecins et des enseignants étrangers à ce titre.
Séoul, Londres et Brocard veulent en bénéficier
Dès septembre, des population pendant la Corée du Sud cherchaient déjà à imprimer prérogative de ce radicalisation de la gouvernant d’nomadisme nord-américaine contre amener des scientifiques et ingénieurs étrangers, détendre à eux usines nationales et revenir en arrière l’déportation des talents.
Le Royaume-Uni étudiait des propositions visant à casser divers alerte de permission contre les meilleurs talents internationaux, avait rapporté le Financial Times. Tandis que la Chine a enraciné le 1er octobre une bruit sorte de permission visant à amener les croasser qualifiés parmi les domaines des sciences, de la technologie, de l’génie et des mathématiques.
(Avec bureaux)
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