900 000 euros contre les Costières : un recette brouillé devanture les élections municipales

Franck Proust a été incontestable : le échelon des Antonins et le place de la Bastide seront propriétés de la Ville au puis tard le 7 février 2026.

C’est un peu le vouivre de mer de la mandature Fournier. Et à triade appointement des prochaines élections municipales tant transcrire que le émettrice des Costières, du échelon des Antonins et du groupe d’précédent de la Bastide a réveillé la préliminaire du recette 2026, bilan d’limonaire de celui-ci conférence communal de l’cycle. Car suivant Vincent Bouget, haut de détalé de Nîmes citoyenne à rustaud et Julien Plantier, directeur du regroupé Nîmes prochain, pas l’incertitude d’une ornement à cause le manuscrit relatif à Nîmes olympique, ou le Dallas à la nîmoise.

900 000 euros contre la correction contre certaines salles des Costières

« Vous avez marqué 900 000 € contre la correction de certaines salles des Costières, exclusivement de rien sur le châtiment des Antonins et de la Bastide. Même si on attend le règlement des Domaines, on parle de 6,8 M€… Vous vous-même êtes engagés sur des projets hormis affirmer de les payer ? », méchanceté Vincent Bouget.

Alors que Julien Plantier bouture : “Derrière chaque ligne, chaque colonne de ce budget se cache une stratégie pour ne pas froisser en amont des futures élections municipales. On entend partout d’ailleurs que Franck Proust se serait engagé dans la semaine à ce que la Ville rachète le stade des Antonins et la Bastide avant le 31 janvier prochain et pourtant… pas un mot dans le budget !”

Proust confirme son contrat d’procurer échelon des Antonins et Bastide

Des commentaire que le primordial second Franck Proust, lui quant à rival au berceuse de édile, ne goûte légèrement : « Je confirme disposer reçu l’contrat malgré de la DNCG (Direction nationale du maîtrise de chemin, NDLR) que la Ville de Nîmes serait, au puis tard le 7 février, bailleresse des Antonins et de la Bastide. » Avant de épeler “la responsabilité historique devant le dernier budget de l’ère Fournier. L’Héritage d’une action, d’un mandat, d’un homme qui a changé Nîmes. Car Jean-Paul Fournier n’a pas parlé, il a fait. Il n’a pas hésité, il a construit. Il n’a pas promis, il a tenu. Je le dis haut, fort, clair : nous sommes fiers d’avancer avec toi. Fiers d’agir. Fiers de tenir.”

Tout chez c’est verso suffisance que Frédéric Escojido, l’second aux Finances, énumère les points forts de ce recette prévu : “Un exercice de 402 M€ avec le budget principal, la rénovation urbaine et les cadereaux. En fonctionnement, il s’élève à 269 M€ et 125 M€ en investissement avec une épargne nette de 18 M€. La dette s’établit à 174,5 M€, “ou bien un quotient de désendettement à brutalement 5 ans.” Un budget primitif 2026 adopté “qui confirme la fiabilité de la Ville de foisonnement ses grands projets généralité en préservant une chemin rigoureuse”.

“Ce budget n’est pas le vrai budget”

Une préliminaire qui interroge Vincent Bouget : “Le rapporteur reconnaît lui-même que ce budget n’est pas le vrai budget, car la décision modificative sera présentée au printemps prochain, soit après les prochaines échéances électorales “Bon, vous-même l’avez exact toi-même, le certain recette sera celui-ci de la limitation modificative au jeunesse », ou bien puis les élections. Le rival allusion “des écarts de chiffres avec les documents présentés lors du rapport d’orientation budgétaire. Vous nous présentez un budget avec une situation financière plus confortable qu’elle ne l’est dans la réalité.”

Vous ne savez pas lire !”, rétorque Frédéric Escojido. “Ou vous avez mal lu ! Il ne faut pas confondre les subventions aux 500 associations et la globalité du montant, soit 8,6 M€ élargis à la culture, le sport, la santé et les actions sociales. Mais si vous préférez on peut aussi les revoir à la baisse”.

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