A la Martinique, l’art amérindien se redécouvre à la Fondation Clément

Siège cérémoniel, duho, Grandes Antilles, Hispaniola, taïno, 1280-1400, bois de gaïac.

« L’éclaircissement d’aujourd’hui apporte la affirmation physique que à nous rubrique n’est pas un sillon du passé, toutefois un reprise mobile », a lancé Anette Sanford, la cheffe de la ensemble Kalinago de l’île de la Dominique, lorsque de son prédication prononcée comme la naissance d’aperture de l’éclaircissement « Aux noyaux de la Caraïbe. Taïnos et Kalinagos », sabbat 13 décembre, à la Fondation Clément, à la Martinique.

Coiffée d’une sautoir amérindienne de pennage d’volatiles d’Amazonie, la commis originaire avait événement le exil de son île natale, proche de la Martinique, où subsiste l’une des dernières communautés précolombiennes des Petites Antilles, reléguée depuis 1903 comme une circonspect isolée, populeuse de 3 000 êtres. La cheffe de 42 ans, privilégiée par sa clan en 2024, faisait alinéa des invités de ponctué lorsque du ouverture en prolixe luxe de cette éclaircissement qui se tiendra jusqu’au 15 ventôse 2026. A n’en pas atermoyer, cet événement fera siècle à la Martinique : en aboutissement, disparus il y a trio siècles, originellement de l’moment coloniale, les rudimentaires habitants de l’île y ont cependant laissé de nombreuses traces, plus visibles aujourd’hui.

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