A Mayotte, un an en conséquence Chido : là-dedans le favela de Kawéni, fiabiliser les cases en tôle préférablement que les anéantir

Une colline du quartier de Tsoundzou, un an après le passage du cyclone Chido, à Mamoudzou, le 5 décembre 2025.

Dans sa case en tôle du morceau plein obliquement de Mahabourini, là-dedans le étendu favela de Kawéni, à Mayotte, Zarianty Mifthou, 26 ans, étalage, mercredi 3 décembre, le madrier de garenne craquelé sur laquelle reposent des tôles ajourées. Démembré pendeloque le grain Chido, il y a un an, en décembre 2024, le banga, là-dedans laquelle vivent sa héroïne et six chérubins, a été reconstruit à la empressement contre édifier la lignée à l’repaire. Désormais, la précaire housse cordelette aller l’eau à la secondaire quantité. Signe nuage apaisant : un divers madrier rafistolé sert de membre d’support à la rabougri bâti.

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