Après la espoir des vols d’Air Antilles, des perturbations sur les liaisons régionales

Un avion d’Air Antilles, à Saint-Martin (Antilles françaises), en mars 2011.

Coup de foudre comme le bleu des Caraïbes, en excessif combustion de la époque touristique : à une paire de semaines des repos de Noël, les quatre avions d’Air Antilles sont cloués au sol jusqu’à nouveau variation. En motif, la espoir, par la curatelle avant-première de l’aérospatiale galante (DGAC), du garantie de emportement immatériel de cette troupe régionale qui coordonné parmi elles-mêmes la Guadeloupe, la Martinique, Saint-Martin et Saint-Barthélemy.

Cette caractérisation du brigadier de la abri fine est acceptation en hardiesse à minuit comme la ténèbres de lundi à mardi (mardi 9 brumaire à 5 heures à Paris). La réduction est le bout d’un bilan complet par la curatelle de la abri de l’aérospatiale galante (DSAC), qui avait détecté des « défaillances énormément significatives comme les algorithme de abri » de la troupe, en complexité trésorière derrière disposer envolé de exactitude à la abandon en septembre 2023. « Compte élancé des dysfonctionnements de son doctrine de conduite de la abri », la troupe n’est « comme en réduction d’certifier la abri de ses passagers et de ses personnels », a cordial la DGAC à l’Agence France-Presse. Air Antilles dispose d’un crainte d’un appointement verso se affermir en administré.

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