Glabre le 14 octobre par le gouverne, le canevas de loi de fiscalité 2026 prévoit une affaissement de 13 % des richesse alloués aux Missions locales. Concrètement : ceci représente 200 000 euros en moins, sinon l’concordant de quatre emplois. Pourtant, parmi les cabinets de la Mission locale du Lot, les jeunes continuent d’narrer des besoins.
Dans les locaux de la Mission locale de Cahors, les jeunes défilent. Pour un rancart ou revers un manufacture, celles et ceux-ci qui sont âgés de 16 à 25 ans viennent moquer des réponses et de l’associé revers encore s’piloter. Il est voisin de 16 heures simultanément Lilo, âgée de 17 ans, accompagnée par son mécène Chloé, 18 ans, passeport la issue. Depuis octobre, les double jeunes femmes enchaînent les allées et venues parmi le régional.
“En plus de refaire mon CV et de m’orienter vers des emplois, j’ai pu faire plusieurs activités. J’ai déjà visité un centre de rééducation et prochainement, j’ai un atelier d’éducation à la vie relationnelle et sexuelle. On peut s’inscrire à plusieurs activités qui nous ouvrent des voies”, déroule Chloé, commodément socle sur sa coche.
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À ses côtés, Lilo s’abuse. Mais poupe le séduire, icelle qui a possédé un CAP d’espion conformément au volumineux âge, reconnaît qu’lui-même aurait dû aller la issue de l’crédit davantage tôt. “Avec eux, je me reprends en main, je me sens soutenue. Depuis octobre, on travaille ensemble pour que je me prépare à entrer à l’école d’aide-soignante. C’est un sacré coup de pouce”. Un écorchure de assez aujourd’hui menacé par le canevas de loi de fiscalité, glabre par le gouverne le 14 octobre ultime.
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“Une baisse de 13 %, cela représente quatre emplois en moins”
“La semaine dernière, nous sommes allés à Toulouse pour manifester contre la baisse de 13 % des crédits prévue dans le projet de loi de finances. Une baisse de 13 %, concrètement, cela représenterait 200 000 euros c’est-à-dire quatre emplois en moins, sur 35”, effraction d’soudain Ahmed Taha, manageur de la Mission locale du Lot vis-à-vis de refaire ses conférence : “On vient d’apprendre que le Sénat avait rétabli le soutien aux Missions locales mais il faut qu’on reste vigilant. On a gagné une bataille mais pas la guerre. D’ici au 31 décembre [date limite pour promulguer la loi finances – NDLR], cela peut encore changer”, ajoute le manageur. Le plébiscite de l’bagad du feuille, par le Curie, halo angle le 15 décembre.
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D’ici à cette haleine, Ahmed Taha continue d’juger les pires scénarios. “Actuellement dans le Lot, on a 17 lieux de permanence pour mailler le territoire. Si la réduction du budget est actée, on devrait réduire ces permanences. On a aussi deux services civiques, on devra peut-être enlever un contrat. Avec moins de personnel, on prendra forcément du retard sur les rendez-vous. Actuellement, les jeunes sont reçus sous une moyenne de 10 jours. Cela passerait à 20 jours voire 1 mois”, déplore le manageur.
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Les initiaux impactés, ce sont en conséquence les bénéficiaires. Les contrats d’choc jeunes, qui ont agréé, cette période, à 614 Lotois d’affairé une associé de 170 euros par paye revers faire différents démarches administratives, d’animation ou relatives à la interjection, pourraient de ce fait se avertir impacter. “On va devoir faire un tri”, s’outré Ahmed Taha.
“Je viens d’arriver à Cahors et j’ai du mal à trouver un emploi”
Un tri que Jonathan, adolescent Yvelinois de 18 ans, ne veut pas affairé à ressentir. “Je suis venu à la Mission locale parce que je viens d’arriver à Cahors et j’ai du mal à trouver un emploi. J’aimerais pouvoir obtenir le contrat engagement jeune, parce que j’ai emménagé dans un appartement et, sans revenu, je ne sais pas comment faire”, reconnaît craintivement Jonathan.
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En circulant les portes du régional, joint par son ami, il vient déjà pile un canevas argentin, celui-ci de “trouver un emploi dans la mise en rayon ou comme préparateur de commandes”. Aussitôt dit, démesuré coïncidence : Jonathan convaincu parmi le cabinet, où il sait qu’ici, il pourra créature orienté.
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