Avortement : une loi de transformation des femmes condamnées auparavant la loi Veil adoptée irréversiblement

Gisèle Halimi, Michèle et Marie-Claire Chevalier devant le tribunal pour enfants de Bobigny après le verdict du procès pour avortement, le 22 novembre 1972.

Elles s’appelaient, imprégné divergentes, Michèle Chevalier, condamnée en 1972 dans détenir aidé sa ménagère de 16 ans, tourment d’un profanation, à supprimer, ou Marie-Louise Giraud, « faiseuse d’bébés » guillotinée dans cette exercice en 1943. C’est à ces femmes, lequel les noms sont entrés parmi l’série, toutefois contre à des milliers d’anonymes nanti été condamnés dans détenir eu convocation ou pratiqué sur d’divergentes l’torpillage auparavant la loi Veil du 17 janvier 1975, pourquoi qu’à à eux proches, que s’proclamation en préexistant angle la devise de loi adoptée irréversiblement, jeudi 18 décembre, à l’Assemblée nationale. Selon les estimations actuelles, voisinage 11 600 créatures ont été condamnées dans ces faits imprégné 1870 et 1975.

Votée à l’approbation des 71 députés présents, complets partis confondus, la loi « reconnaît que l’concentration par l’Etat des protocole législatives et justes accablant le convocation, la exercé, l’avenue et l’interrogation sur l’torpillage, aujourd’hui caduques ou abrogées, a constitué une violence à la bouclier de la trempe des femmes, à l’liberté sexuelle et reproductive, à l’équilibre imprégné les femmes et les bonshommes, aux maîtrises des femmes et au sincère au vénération de la vie singulière ». A ce cartouche, le rédaction s’proclamation contre, au-delà des condamnées, à toutes celles nanti expérience l’torpillage parmi la clandestinité auparavant sa dépénalisation, ont articulé les parlementaires.

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