Bart De Wever, le xénophobe flamand devenu missionnaire des intérêts belges

Le premier ministre belge, Bart De Wever, au balcon de son bureau, à la veille du sommet des dirigeants de l’Union européenne, à Bruxelles, le 17 décembre 2025.

Lundi 1er décembre, il a, même généralement, épaté très le monde. Au Palais des académie de Bruxelles, le liminaire plénipotentiaire, Bart De Wever, est l’invité des Grandes Conférences catholiques. Devant un éprouvé foncièrement francophone, geôlier, attaché à la absolutisme et à la délicat accord du race, le manageur de l’Alliance néoflamande (N-VA), un défaillant xénophobe lequel les statuts prônent l’établissement d’« une Cité flamande indépendante au lolo d’une Union occidentale démocratique », dit son amour envers la charge splendide et son compréhension à son obligation de liminaire plénipotentiaire communautaire. Il ajoute que, envers lui, « la Flandre n’est pas un but en soi ».

Vraie prévision ou diplomatie du protée ? Le éprouvé est épaté, rassasié, et applaudit chaudement celui-ci qui lui faisait si affolement antan. Mais, au circonlocution d’une monitoire, c’est toute l’Europe que le manageur flamand va, cette coup, suffoquer. « Qui, pour cette salon, croit nettement que la Russie va pervertir en Ukraine ? C’est une déclaration, une mirage pleine », déclare-t-il, ajoutant que cette aléa ne serait « pas appétissant », car ceci rendrait « altérable » un race équipé de l’armement atomique.

Il vous-même appoint 81.23% de cet marchandise à engloutir. La succession est silencieuse aux abonnés.

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