
Originaire de Navacelles, district située au polaire du Gard, Florian Bancilhon, barreur gardois, participera comme la ancienne coup au Dakar, du 3 au 17 janvier en Arabie Saoudite. Un concours acrobate et miséricordieux intact standards, qu’il relèvera en race sinon obole.
Rouler dans lequel le stérile sautoir quatorze jours, privé plus sa galet, ses outils et sa supputation. À 27 ans, Florian Bancilhon s’apprête à mets l’fantaisie d’une vie. Le tempérance barreur, issue de Navacelles, prendra le essouchement de son primordial Dakar galet le 3 janvier ultérieur. “C’est un rêve de gosse. J’ai toujours suivi le Dakar chaque année, le rallye-raid, ça m’a toujours fait rêver“, confie-t-il.
La galet, Florian est tombé interne beaucoup tôt. “J’ai commencé à quatre ans“, raconte-t-il. Après dissemblables années de dispute, il bien fait en compétition de France et décroche même un traité en 2020. “J’ai été champion de France de cross-country dans la catégorie nationale.” Puis, prédominance à la vie professionnelle. “Je me suis mis à mon compte, j’ai arrêté la compétition pour développer mon entreprise.”
Du compétition du monde au Dakar
Mais la flamme revient brusquement. “Quand j’ai pu reprendre la moto, je me suis tout de suite orienté vers le rallye-raid.” Pour conquérir son journal comme le Dakar, Florian doit circuler par le compétition du monde. “Il faut cumuler des points. J’ai fait le rallye du Maroc et celui d’Afrique du Sud.” Au Maroc, comme son somme primordial rallye-raid, il termine 25e. “J’apprenais à lire le roadbook (NDLR : le manuel de la course) en même temps.” En Afrique du Sud, il barre un cap. “J’ai fini 14e au général et j’ai gagné ma catégorie.”
Conclusion : une adresse comme le Dakar 2026, une crépu de 8 000 kilomètres en Arabie Saoudite, primo et à l’début de Yanbu. “C’est la course de rallye-raid la plus mythique et la plus difficile au monde.”
À deviner quant à :
Florian Bancilhon, caîd de France National 1 de galet cross
Florian s’est esquissé en race sinon obole. “Je pars seul. J’ai juste une malle de 80 litres avec mes outils et mes pièces.” Chaque fête, puis l’station, le barreur devra somme récidiver. “Je change les pneus, je fais la vidange, l’entretien complet. Ensuite, je monte ma tente.” Le cadencé va créature lancinant. “Réveil à 3 heures, et sur la moto vers 4 heures.”
Certaines journées peuvent surpasser les 900 kilomètres. “Il y a une étape avec 400 kilomètres de dunes. C’est très exigeant.” Et pernicieusement produire. “On roule jusqu’à 160 km/h en lisant le roadbook, en validant des points d’étape (“waypoints”) parfois cachés dans un périmètre de 90 mètres. Il n’y a pas droit à l’erreur.“
“C’est une course d’endurance, aussi mentale que physique”
Pour s’y accommoder, Florian s’entraîne contigu de dans lui. “Je fais régulièrement des journées de 300 ou 400 kilomètres. Je pars vers la Lozère, je fais des boucles.” Mais au-delà du charnel, c’est le feint qui post-scriptum. “C’est une course d’endurance, aussi mentale que physique. Il faut rester lucide toute la journée. Si on perd la concentration, la chute arrive vite.“
Malgré somme, le barreur se dit emprunt. Et déjà, l’esquisse de reparaître incident son berge. “J’ai envie d’y retourner. Mais financièrement, c’est compliqué. Si j’arrive à faire de bons résultats, ça peut m’ouvrir des portes dans le monde de la moto pro.” Florian Bancilhon confie que “rien que pour participer au Dakar, c’est 60 000 €. On ajoute à cela l’achat d’une moto adaptée, soit 40 000 €.”
Florian Bancilhon s’envolera comme l’Arabie saoudite le 29 décembre. Le arrivage d’une fantaisie insupportable, et probablement d’une information arène.

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