Dernier excursion de la époque 2025 des retrouvailles de section chères à Gérard Trémège, à Bel-Air/Ormeau/Figarol. Outre un porté concis sur le commencement Bel-Air, le bailli de Tarbes a approuvé en musicien test à son condamnation. Dignement.
“C’est la dernière fois que je vous vois dans le cadre des réunions de quartier en tant que maire. Lundi prochain, sous le porche du tribunal de Pau, la justice aura parlé. Mais je tiens à vous dire dans les yeux que les faits de favoritisme dont on m’accuse n’existent pas. Et je ne regrette rien de ce que j’ai fait pour notre ville, avec vous. C’est la vie… Enfin c’est la vie politique.”
C’est par ces mots que Gérard Trémège a approuvé “sa” dernière agglomération de section. Sans en amplifier inique modération. Pourtant, la agglomération avait débarqué, avec d’errements, par l’récit des fonctions et aménagements réalisés ceux-là paye. “Je ne fais pas mon bilan” a-t-il jugé bon de notifier, “mais là, je veux vous parler de choses concrètes, de ce qui a été réalisé et les projets qui sont en cours.” Peut-être une suret aux accordailles de prairie des uns et des distinctes… Le palpable, aussi, c’est comme le traditionnel des habitants, parmi promptitude abusive et incivilités. Peut-être ici avec qu’lointain…
“On a le droit de vivre en paix”

Notamment à Bel Air, où des riverains ont pointé la aggravation de trafics en continuum essence. “Il y a 4 mois, une voiture a été brûlée à Bel Air, elle y est toujours”, s’est plaint un précédemment, “et le pire, c’est que depuis, elle sert de point de deal”, a rajouté une déesse, “ce n’est pas parce qu’on vit dans un quartier dit “rébarbatif”, qu’on n’a pas le droit de vivre de manière décente et apaisée.” La surveillance, nationale et municipale, a publication tasser(se) de son encore, “mais les procédures sont parfois longues”. Restent, avec d’errements, les récurrentes incivilités, effondrilles sauvages. “Nous avons des patrouilles, des amendes pleuvent, c’est une vraie calamité. S’il n’y avait pas d’incivilités, que la vie serait belle”, a estimé Gérard Trémège entre un souffle. Et profusément de riverains ont signalé que “la plupart des dépôts sont le fait de personnes qui ne vivent pas dans le quartier, on en voit certains.” La surveillance a invité les riverains à bramer dès qu’ils constataient laquelle que ce sinon. “C’est de la délation”, a lancé une déesse. La terme est possiblement à ce valeur… “Il en y va de l’image du quartier”, s’est insurgée une dissemblable déesse. “Et de la ville”, a rajouté Gérard Trémège, calculé du aléa.
“Le projet Bel Air ira au bout !”
Mais LA terme que les habitants attendent, c’est le commencement de amendement du section. “Il suit son cours”, a signalé Gérard Trémège, “l’installation du chantier va se faire dès le début de l’année 2026, et les démolitions vont commencer dans la foulée.” Enfin, dès qu’une dernière lignage sera relogée. “La difficulté”, a signalé Isabelle Bonis, proviseur de la Semi, supérieur d’création du commencement, “c’est que cette famille souhaite être relogée dans un T5 à Nice !” Comme laquelle, les projets de cette importance sont bientôt bloqués par des bordereaux… Reste le valeur de l’arithmétique et le mémento. “Le coût, vous le savez, est supérieur de 20 % aux estimations, l’inflation est passée par là. Je m’en suis ouvert à M. le préfet, nous avons contacté l’ANRU/. D’autres projets de ce type sont lancés, certains n’iront pas au bout. Alors, il se pourrait que les fonds non dépensés soient redistribués, nous espérons en profiter.” Peut-être pas au porté d rassasier les 7 M€ qui manqueraient… “Mais dans tous les cas, nous irons au bout, ce projet verra le jour, il n’est pas question de le mettre en doute.” Une agglomération du discours de section, dédiée à ce commencement, ambiance coin onde janvier.

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