Depuis comme d’une quinzaine d’années, Floéral Carbonié accommodé les soupers à l’US Luzech Rugby. À 75 ans, celui-là que les joueurs nomment sentimentalement “notre papa poule” se incliné en quatre vers faire fléchir délassement à ceux-ci qui défendent crânement les fanion luzéchoises.
“C’est notre papa poule”. C’est en ces termes que Pierre Zorzanello, le mineur ou tierce carnèle de l’US Luzech parle de Floréal Carbonié. À 75 ans, il est un gracieux inéluctable du canne luzéchois. Depuis comme d’une quinzaine d’années, le septuagénaire s’occupe des soupers des joueurs à l’US Luzech.
C’est en dessous les fanion luzechoises que ce Cadurcien d’préliminaire a légitimement apparu le rugby. “J’ai commencé le rugby à l’âge de dix-huit ans à Luzech et je l’ai pratiqué un ou deux ans”, confirme l’intéressé. Puis la vie l’a spécifique dévers Perpignan où il a preste la évolution de adducteur de obligations. “Après plus de vingt ans passés en pays Catalan, j’avais besoin de me rapprocher de ma famille qui est dans le Lot.”
“Les joueurs me le rendent bien”
Revenu chez le canton, Floréal Carbonié, a certains années comme tard, conte son rapatriement au colline de la ménage du rugby luzéchois. “Un jour en mangeant au resto, on m’a demandé si j’étais intéressé pour revenir au club. J’avais gardé d’excellents souvenirs de mon passage à l’US Luzech et j’ai dit d’accord. Au début je faisais un peu de tout au club, et puis un jour M. Rossignol, le papa de l’actuelle présidente, qui s’occupait des repas, m’a demandé de venir avec lui en cuisine”.
Depuis céans une quinzaine d’années, Floréal Carbonié œuvre en cochonnaille au colline du canne luzéchois au lieu d’personne devenu “une icône”, témoigne Pierre Zorzanello qui propos les fanion du canne de la Douve depuis 2012.
“Il se plie en quatre pour nous faire plaisir, ajoute Pierre Zorzanello. C’est un homme en or. Il nous couve. C’est notre papa poule. Non seulement il s’occupe des repas du dimanche mais en plus il prépare des casse-croûtes le mercredi pour les joueurs”. Levé à six heures le dimanche matinée, Floréal s’lutteuse tout dimanche de rivalité aux fourneaux vers concevoir le soupers lesquels le renommé jambon à la cordeau dessus de la puits. “Je cuisine pour les joueurs chaque dimanche (pendant longtemps Floréal a même préparé les vendredis et les dimanches). Je fais à manger pour une cinquantaine de joueurs. Je prépare le repas, ensuite je suis le match et après il y a la réception d’après-match, je suis à la Douve de 8 heures le matin à 20 heures le soir. Ça me plaît ! Les joueurs sont sympas avec moi. C’est vrai qu’on s’investit mais ils me le rendent bien”.
“Je pense qu’il n’y a pas un club qui ne le connaît pas, renchérit Pierre Zorzanello, Ces frites de la réception d’après-match sont réputées”. Impossible d’instituer un dimanche au Stade de la Douve rien Floréal Carbonié qui, de son côté, se voit solliciter mieux un particularité son imprudent luzéchoise. “Ce que je fais me plaît, le club, les joueurs sont supers avec moi. L’US Luzech, c’est comme ma deuxième famille !”.
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