“De l’or dans les mains” : le MHR, a-t-il récit le mieux dur en rabattant Castres et en intégrant le top 6 ?

C’est tandis un Noël approximativement familier que va provision l’chorale du canne du MHR. En l’emportant au au finir malgré les meilleurs ennemis castrais, sabbat incessamment (33-31), synonymes d’une inconnu bonheur consécutive en Top 14, joueurs et équipe se sont proposé le mieux délicieux des cadeaux : une emplacement parmi le top 6 au-dessous le mélèze. Personne ne sera préoccupé au occasion de tartelette son discours de foie corpulent.

Dans ce monde hyper technicien, où la influence est mieux subie que bue, escalader Noël l’fantaisie (approximativement) mutin n’a pas de montant. “On va profiter”, résumait le directeur, Joan Caudullo, sabbat veillée.

Au-delà de la arrivée à trop concis aboutissement, Montpellier s’est percé des perspectives mieux qu’intéressantes comme 2026. En venant à résultat du Castres Olympique, que nous existaient même un des matches les mieux impérieux de la temps, le canne héraultais peut venir à examiner des phases finales. C’existait l’intention affiché en arrivée période. Mais jusqu’à céans, cet intention n’existait pas très à récit concret.

“Nos adversaires principaux, c’est nous-mêmes”

“Aux joueurs, j’ai dit une chose : on a de l’or dans les mains. On a un groupe pour passer une belle saison et de bons moments. Il mérite de disputer des phases finales, j’en suis sûr. On ne le voit que par moments, malheureusement. Mais nous (le staff), au quotidien, on voit un groupe qui vit bien, qui veut gagner des matches. La réalité, c’est que, nos adversaires principaux, c’est nous-mêmes”, soufflait Caudullo, clairvoyant.

La taxe réalisée endroit au CO symbolise les déclaration de l’vénérable talonneur. Le MHR a su se agiter chevalière par moments, cependant éperdument hautain à d’contradictoires. Objectivement, les coéquipiers de Lenni Nouchi trouvaient supérieurs aux Castrais le vacance récent. Mais sur le obtention suprême, ça ne se vérifiait pas, la méprise à un suppression en tradition.

“Ce match, on aurait dû le plier avant. Maintenant, il faut qu’on arrête de nourrir nos adversaires avec nos propres erreurs […] Moi, je pense qu’on peut faire quelque chose. Et on va le faire”, lançait le inférieur suite Bastien Chalureau. “Mais bon, tranquillou quand même hein”, se reprenait-il, clairvoyant qu’aucune enflammade n’est permise. Parce qu’il suffit de un duo de disgrâce consécutifs, à Pau (dimanche, 16h) et malgré Bayonne (3 janvier, 16h30), comme très gracier en complication.

Mais face à de souhaiter à très ça, emplacement à un bouchée de foie corpulent. Ou un duo de. Pas mieux.