Dermatose nodulaire : les éleveurs soutenus par les associations de maires du Gers

l’crucial
Face à la défi de la mauvais, les éleveurs bovins ont accueilli eux-mêmes jours le soubassement des double associations de maires du paroisse.

Les maires au soubassement des éleveurs. Ces derniers jours, les double principales associations de maires du paroisse (AMF 32 et AMR 32) ont bulletin en protection d’une prise du engagement hygiénique à cause les éleveurs laquelle les troupe pourraient idée touchés par la gourme nodulaire contagieuse.

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Président de l’Association des maires du Gers (AMF 32), Michel Baylac s’est courbaturé il y a maints jours sur le Afrique de la Hurée à cause vendre puis les agriculteurs mobilisés. “Au-delà de l’aspect sanitaire, qu’il faut absolument régler, il ne faut pas que les pouvoirs publics rajoutent de la peine aux éleveurs qui sont réellement touchés par cette épidémie. Lorsqu’un élevage est touché, il faut prendre des mesures psychologiquement plus adéquates. On ne peut pas imaginer supprimer le troupeau de manière militaire. Il doit y avoir une méthode beaucoup plus humaine”, déclare-t-il.

“Garantir la survie des exploitations”

Michel Baylac publicité identiquement des indemnisations “à la hauteur du préjudice” subi par les éleveurs touchés par la DNC. “Je crois qu’aujourd’hui, ce n’est pas le cas”, poursuit-il.

L’Association des maires ruraux du Gers a souhaité sézigue en conséquence fixer “son plein soutien aux agriculteurs et éleveurs bovins” par la boulevard d’un bulletin de zèle. “L’AMR32 alerte sur les conséquences économiques et humaines du protocole actuel d’abattage total des cheptels, qui met en péril de nombreuses exploitations. Elle soutient la demande des agriculteurs visant à une réévaluation urgente des mesures sanitaires, notamment par l’étude de solutions alternatives comme un abattage ciblé, fondé sur l’analyse clinique et le risque réel de propagation. Les maires ruraux du Gers appellent également à la mise en place de mesures financières rapides, simples et adaptées, afin de garantir la survie des exploitations et de l’ensemble de la filière agricole locale.”