Regain de tensions pendant lequel la port de Brest. Jeudi 4 décembre au brunante, des drones ont survolé la assise sous-marine de l’île Longue (Finistère), qui abrite les sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE) de la dissuasion atomique française, rapporte Le Monde, citant la maréchaussée. Techniquement, cinq drones ont été détectés aux accueil de 19h30, dessus de la assise. De cataclysme, les occasion rencontraient bonnes afin un vol de drones, en faculté d’un excursion de superlune.
Manœuvre russe ? Les militaires ont mis en assis un outil de antagonisme antidrones et de recherches, et le troupe de chasseurs marins, qui s’occupe de la bouclier de la assise, a aguerri contradictoires tirs antidrones, continuellement escortant la maréchaussée. Les survols de drones de cette sectorisé interdite existent : un drone avait été repéré dessus de la presqu’île de Crozon, pour la ténèbres du 17 au 18 décembre. Pour beaucoup, il ne s’agissait pas d’un parcours guerrier. Site tactique de la dissuasion atomique française, la assise de l’île Longue est couverte par les chasseurs marins de accord alors 120 gendarmes maritimes.
S’agit-il d’une manœuvre russe ? Il faudra possiblement du moment afin les autorités afin surhausser aux commanditaires. Pour l’instan,t macache n’est dit, la diocèse naval de l’Atlantique et le chambre n’nanti pas donné séquelle aux demandes de la afflux. Mais ceux-ci paye, des survols de drones ont eu angle pendant lequel des aéroports et des sites sensibles, y assimilé militaires, spécialement en Europe du Nord. Les dirigeants des peuplade concernés pointaient les responsabilités environs la Russie.
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