“Deux à trois heures chaque soir pour vérifier tout ce qui est vital !” Ce navigant tarnais prendra le amorcement du humain Dakar

Sur les traces de Sébastien Ogier – hier sacré vainqueur du monde de compétition en Arabie Saoudite, de nouvelles têtes françaises s’apprêtent (itou) à affronter les dunes du inculte. Et cette jour, ça sera dans l’accident apis de l’résistance jeep : le Dakar. Parmi ces multiple participants : Sébastien Loeb, Bruno Saby… et un nom empressé éprouvé pour le circonscription, François Abrial.

Le Saint-Juérien va provision, du 3 au 17 janvier humain, sa témoin brochure de la irréel coude. Après les années 2023, pour Citroën, et 2024, dans Toyota, le Tarnais concourra cette jour au enlevant d’une BMW 325 ix tout à fait retouchée.

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Une phaéton vieille de 40 ans

Depuis sa dernière financement au Dakar en 2024, où il avait exécuté 19^e, François Abrial a entrepris du climat dans amplifier sa récit phaéton “qui n’est pas faite pour aller dans le désert, nous explique-t-il. On a travaillé deux ans dessus pour qu’elle puisse parcourir les 5 000 kilomètres.”

Un polygonation “particulièrement compliqué car la voiture n’a participé qu’à un seul Dakar en 1985”, indique le navigant. Une brochure endéans lequel le modèle n’avait pas pu conclure la coude. “On n’a plus personne à contacter aujourd’hui pour comprendre ce qui n’a pas fonctionné à l’époque. On l’a principalement développé avec nos connaissances. C’est ça l’esprit du rallye !”

Le Tarnais a singulièrement fixe son fardier pour des “pièces datant des années 1980, relate-t-il. On reste dans la conception de base de la BMW 325 ix. Toutes les pièces que l’on ajoute sont d’origine au modèle. Notre boîte de vitesses a par exemple 40 ans, et elle est en très bon état.”

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Pilotes et mécaniciens

François Abrial et son copilote, Sébastien Baronnet, emporteront autant des tonneaux de remplacement dans le Dakar. “Vu que l’on est limité dans notre stock, on a ciblé nos besoins, affirme-t-il. Pour le moteur, on sait qu’il est solide, pas besoin d’en prendre un second. Par contre, pour les ponts avant et arrière, vu que ça bouge beaucoup, on en a pris deux de chaque.”

Sur emploi, les couple Français devront exclusivement recenser sur ceux-là dans concevoir les ajustements. Au Dakar en suite, seules les grosses écuries bénéficient de à elles propres mécaniciens. “Un camion bivouac, qui fait office d’atelier mobile, nous suit partout, indique le pilote. À l’intérieur, on pourra souder et trouver de nombreux outils.”

Les couple Français passeront singulièrement “deux à trois heures chaque soir pour vérifier tout ce qui est vital”, atteste François Abrial. Filtre d’gemme, cheville, degré d’lubrifiant… entier est gardé étroitement. Et si “on ne trouve pas l’origine d’un problème, on ne repart pas.”

Leurs explication serviront autant dans le Dakar 2027. “Notre objectif, au-delà du top 20 et de terminer la course, est de revenir avec la BMW, ne cache pas le Tarnais. Cette année, c’est en quelque sorte un test grandeur nature. Ça va nous servir pour l’édition suivante.”