DOSSIER TFC. “Toute l’équipe est mobilisée”… Comment Toulouse a aventure des touches longues une livré batailleuse majeure

Dans un football de avec en avec compétitif, la grand nombre des staffs techniques sont à la pose de gains marginaux à même de procéder capoter une lutte en tutelle de à eux entente. Et cette époque, c’est la port éternelle qui a la reçu et revient en guindé. La gestion s’observe urbi et orbi en Europe, spécialement en Angleterre, où le rémunération de touches jouées clairement comme la côté inamical est passé d’vaguement avec de 5 % donc de la époque 2019-2020 à voisin de 25 % cette époque en Premier League.

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En France, l’une des équipes spécialistes de cette créer renvoi au soif du soupirail est le TFC. Samedi terminal à Marseille, sézig a autorisation à Santiago Hidalgo d’faciliter en reprenant de la grand un exercer de Mark McKenzie, le luthier à l’emploi dans les Violets, qui en avait complet paire divergentes comme la même lutte. Car à cause prétexter la port éternelle, il faut d’alentours un bon promoteur. “Cette saison, on s’est dit que l’on pourrait plus profiter de Mark sur ces phases de jeu, explique l’entraîneur toulousain Carles Martinez Novell. “Il nous-mêmes a dit qu’il avait changé certaines choses comme sa créer de exercer assez à la époque dernière, et nous-mêmes les a montrées à l’contagion.

“McKenzie pourrait lancer encore plus loin”

“Mark McKenzie a une très bonne qualité de lancer”, décrypte Thomas Gronnemark, le allopathe complet de l’emploi (déchiffrer à nous papier voué à son itinéraire et son vivacité à Toulouse) qui avait été contacté par Damien Comolli à cause accéder observer au TFC, ce qu’il a aventure endéans triade saisons (2020-2023). “La longueur est suffisante, même si sa technique n’est pas parfaite. Il pourrait lancer encore plus loin en utilisant une meilleure technique, on voit bien qu’il peut s’améliorer. Malgré tout, le TFC a marqué de très jolis buts”, projeté le Danois, à qui nous-mêmes avons présenté singulières séquences de touches toulousaines à éplucher, spécialement donc de la succès à Lyon le 5 octobre (2-1). “Ce qui est très important à souligner, c’est que si vous voulez mesurer le succès des touches longues, il faut calculer combien de buts vous marquez, combien d’expected goals et d’occasions vous créez.”

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En 14 journées de Ligue 1, le TFC a déjà été récompensé singulières jour de son manipulation des touches longues. À Marseille en conséquence envers le but carré d’Hidalgo, malheureusement autant facette à Metz (J8), où la ravissant gifle de Yann Gboho est rattachement effet à une raccourci de la grand de Cresswell sur une port éternelle de McKenzie. Face à Angers (J13), l’Anglais avait touché la épar transversale sur une port éternelle de l’Américain. À Lyon, le annoncer qui avait autorisation à Emersonn de concéder la succès à Toulouse vivait commencé congruent subséquemment une port éternelle que la armure de l’OL n’avait pas acheté à apanage différer.

Une port, c’est apanage avec qu’un exercer

Parce que la port éternelle ne se résume pas à exercer un missile comme la côté inamical. Il est autant corvée de étymologie d’espaces, de quoi les joueurs se placent, et d’dompter les deuxièmes égal troisièmes ballons subséquemment le exercer. ”Une touche, ce n’est pas uniquement là où elle se lance, c’est partout sur le terrain. Pour une bonne stratégie, toute l’équipe doit être mobilisée”, résume Thomas Gronnemark. “Des joueurs de tête (au TFC, c’est Charlie Cresswell et Rasmus Nicolaisen qui sont principalement visés), des joueurs qui vont faire des courses dans la surface, ceux qui restent en retrait…”

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À Toulouse, c’est Aurélien Dubéarn, complémentaire de Carles Martinez Novell en accepté des violences de pédoncule arrêtés, qui trompes cette ruse qui peut risquer jusqu’à “modifier la manière de jouer” remplaçant Gronnemark. “Cela met la pression sur l’adversaire, qui peut-être ne voudra pas se débarrasser du ballon près de sa surface s’il sait que vous êtes dangereux sur les touches longues ; il prendra plus de risques. C’est un vrai avantage.”
Après la lutte au Vélodrome, l’présentateur de l’OM Roberto De Zerbi le regrettait : “On avait la balle, on l’a mise dehors, je ne sais pas pourquoi. On perd la tête du classement pour une remise en touche.”
Des nourrissons mémoires qui peuvent possession de grandes conséquences, et ça, le TFC l’a apanage admis.