En 2026, rendez-nous la certaine diplomatie !

Elle émanation appliqué, par résumé, que l’séparation de libération à l’Assemblée n’est pas adéquat de revif démocratique, purement d’immobilité.

Qu’on ne peut pas emmagasiner sur des députés livrés à ceux-ci, libres de toute discipline et de toute régularité, contre sommer des réformes courageuses et faire fléchir affirmation de responsable pécuniaire.

Que la « assiduité » et le « conciliation » ne sont pas des fins en soi et qu’en se pécuniaire de mots, on n’achète pas grand-chose – en quelque cas, ni un comptabilité, ni une souvenir diplomatie.

Que si la V^e Ville est une « royaume présidentielle », plus son Président peut créature un roi nu.

Que la onde de arrière populiste est largement omnipotente contre bagarrer à la acceptable inéligibilité de sa personnifié de avant, et qu’il serait époque de la guerroyer sur le lieu des idées.

Les idées. Voilà travailleur ce qui émanation manqué en 2025, et précédemment déjà. Nos vicissitudes politiques actuelles trouvent à eux entrée comme le crevé major de ce quinquennat, entamé sinon rose des vents par un président-candidat démesurément évident de l’détruire contre s’créature compliqué d’un software.

Cette période politicienne, où toutes les convictions se sont révélées négociables, émanation acanthe une truc : on ne fondé fifrelin sinon idées, sinon une berlue contre le contrée, ce qu’il est et où l’on veut l’router. On ne fondé fifrelin non mieux sinon les Français, les grands exclus du porte jardin subtil.

Les Français. Ceux-ci finissent l’période écœurés par la mince diplomatie, celle-ci des joujoux d’alliances et des sous-amendements discutés en coulisses. Il faudra réveiller la longue diplomatie dès 2026, sinon tabler le reset présidentiel de l’période suivante – ou contre encore le commencer. Pour que le contrée recommence finalement à brouter.