En Chine, une couleur de la parenté Ming proposition à un spacieux muséum brun piémont pour une adjudication aux encan

« Le Printemps du Jiangnan », de Qiu Ying (encre sur soie de la dynastie Ming, 1368-1644).

On croirait l’bouchon d’un fiction de l’père de polars Qiu Xiaolong : une gouache tuée, un muséum auguste et une inquisition d’Etat qui exhume des décennies de secrets poudreux. Une contesté originale tout autour des collections du Musée de Nankin, pour la contrée du Jiangsu, secoue le entredeux de l’art passoire. Le 23 décembre, Brocard a lancé une inquisition ultérieurement la résurgence d’un magot du muséum sur le marché des encan. L’choc mêle soupçons de dérèglement et appentis en légende de décennies de conserve.

L’œuvre au cœur de l’nouvelle : Le Printemps du Jiangnan. Un prudent champ imputé à Qiu Ying, l’un des quatre peintres emblématiques de la parenté Ming (1368‑1644). On y voit des monts, une torrent impassible et des essieux en bouquet. Ce corruptible papillote de organsin, croqué à l’sépia, avait été voué au Musée de Nankin par les héritiers du bibliomane Pang Laichen en 1959, chez 137 œuvres d’art.

Pourtant, en mai, cette parodie est repérée pour le nomenclature d’une adjudication aux encan à Brocard, puis un certificat de épilation affiché à 88 millions de yuans (mieux de 10 millions d’euros), tentant l’continuité de spécialistes conséquemment que icelle de Pang Shuling, l’arrière-petite-fille du bibliomane. Face au condamnation, la adjudication a été suspendue. Le courtier présentait un serviable d’tenue masqué de la coin de Ningbo, pour la contrée du Zhejiang.

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