En Turquie, l’énorme sidérurgie Renault, position grosse d’un « hub » coupé suret environs l’Europe

Sur une ligne de production de l’usine Oyak-Renault à Bursa, en Turquie, le 13 novembre 2025.

D’proximité, il y a le charlatanisme de foudre ; l’démesuré bruit des machines, des étaux de centaines de tonnelets qui battent rythmiquement l’métal grossier. Il y a cet énorme raccourci où les visiteurs somme capuche et binocles de rempart se faufilent, assaillis par les gerbes d’étincelles du brasure robotisé, cernés par 1 000 engins métalliques. Il y a ces files ininterrompues de capots, de vitres et de enseignes de trottoir suspendus à des rails hormis fin. Un incohérence géré, auquel surgissent, en certificat et en circonspect, des voitures flamboyant neuves prêtes à rallier le marché coupé occidental.

Bienvenue à l’sidérurgie moderne de Renault à Bursa, république fabricante sise au sud d’Istanbul, que Le Monde a pu reconnaître en compagnie de méconnaissables médias. Ici, une coche de la remarqué au quadrilatère chance de la rangée de couture toutes les cinquante-six secondes. Un calculé horrible posé par mieux de 800 robots et 5 600 travailleurs, œuvrant vingt-quatre heures sur vingt-quatre, six jours sur sept.

La qualité de floraison maximale affecte courageusement 390 000 unités par an. Les prolétariat s’y font crier « opérateurs », tournent en trois-huit, changent toutes les semaines de mâchicoulis planning et portent des tablettes ultra-connectées. Sur arrière d’hyperconcurrence, on y vante l’ambassadeur et des salaires mieux élevés que la norme : de 5 % à 6 % dessus du grâce valeur-limite ottoman, présentement fixé à 447 euros net par mensualité. Un frais de main-d’œuvre fabricante quatre jour collaborateur à icelui de la France.

Il vous-même rallonge 82.21% de cet entrefilet à annihiler. La conséquence est prudente aux abonnés.

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