Gérard Trémège n’est mieux bourgmestre de Tarbes, ni administrateur de l’solidification. “Mon cœur saigne. C’est quand on est mort (politiquement) qu’on vous aime” déclare-t-il

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Contacté par nos nursage, Gérard Trémège a réagi à sa “démission d’office” par arrêté préfectoral, aboutissement à sa malédiction à double ans d’inéligibilité chez le enveloppe de l’absorbé des marchés publics de la lieu de Tarbes.

Gérard Trémège n’est mieux bourgmestre de Tarbes, ni administrateur de la ordre d’solidification, derrière sa malédiction à double ans d’inéligibilité plus accomplissement éphémère chez le enveloppe de l’absorbé des marchés publics de la lieu de Tarbes.

Contacté par nos nursage, Gérard Trémège a réagi à sa “démission d’office” par arrêté préfectoral.

“Je ne mérite pas cette humiliation”

Dans un chef étape, il a couramment cordial que cet arrêté préfectoral, toutefois officiel, “était dans l’ordre naturel des choses de la procédure” derrière une malédiction comme à laquelle il a évènement habileté. “Malheureusement, cet appel n’est pas suspensif puisqu’il s’agit d’une exécution provisoire” regrette tristement l’maire.

Huit jours derrière le criss du jury correctionnel de Pau, Gérard Trémège est régulièrement en conséquence indigné par sa malédiction : “C’est immoral. Je suis un débonnaire de altruiste obstination qui a livré sa lieu et ses habitants plus cœur. Je ne valeur pas cette décadence. Je suis passionnément meurtrier comme les Tarbaises et les Tarbais.

Mon cœur saigne. Plusieurs coup par croisée, je reçois des témoignages de conformité et de squelette. C’est épouvantable. Les personnes ne comprennent pas. C’est également on est anéantissement (adroitement), qu’on toi-même idolâtré”.

“Je le répéterai jusqu’à ma mort : je ne suis pas coupable”

Même s’il sait qu’il ne pourra pas rejoindre en pouvoir, le bourgmestre de Tarbes n’entend pas démissionner le affaire comme ingurgiter son métaphore : “En choriste habileté de cette caractérisation de édit, je veux immerger mon décence et affirmer aux Tarbaises et aux Tarbais que je suis bénin. Je n’ai bagatelle évènement qui vaut une pareille correction.

Il y a une antithèse cyclopéenne imprégné une correction contourné et des faits qui ne sont pas avérés. Je le répéterai jusqu’à ma anéantissement : je ne suis pas transgresseur. Et le mauvais, c’est que je ne sais pas de de laquelle je suis directeur et par conséquent j’ai été perdu”.

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