Éliminées par le Danemark aux portes de la conclusion de l’Euro il y a un an (24-22), les Bleues devront surtout se assouvir de la menue conclusion, dimanche pour les Pays-Bas – battus par la Norvège pendant lequel la cellule (25-35) – dans la moindre épreuve de Sébastien Gardillou au redoute de trieur.
« Je pense qu’on n’est pas pendant lequel la même groupe. »
L’Allemagne retrouve elle-même la conclusion d’une épreuve dans la originelle coup depuis… 1994, un an ensuite son écarté armes, le Mondial 1993.
Son inhabileté pendant lequel le nouveau précis, qu’elle-même retrouvait dans la originelle coup depuis 2008, ne s’est pas histoire entrevoir, pas surtout que sa confidence de l’Ahoy Arena de Rotterdam ensuite sept matches remportés pendant elle-même (elle-même coorganise le Mondial plus les Pays-Bas).
Sept, dans le débordement de demi-finales mondiales remportées par les Françaises… sur sept jouées. Elles ont de ce fait subi ce vendredi à elles liminaire revers, quatre jours ensuite bien, déjà, prosterné pour les Néerlandaises en résultat du jaquemart proviseur (26-23).
Comme lundi, elles-mêmes ont ambulant de confection adhérent, ensuite bien évident une lipide d’étendue provocante, singulièrement en imminent succession (un écarté but compris la 38e et la 48e pressant). « Je pense qu’on n’est pas pendant lequel la même groupe aujourd’hui », a lancé Gardillou.
Changements vains
Comme un test présage des difficultés à dériver, les Bleues ont lancé à elles demi-finale par un tir manqué de Clarisse Mairot, qui les avait placées sur les rails de la patience pour les Danoises en quarts de conclusion (31-26) en décelant ses quatre originaires tirs.
Deux jours surtout tard, elles-mêmes ont été moins en bout au tir (Foppa un mètre dessus, 15e), en revers singulièrement apparence à Katharina Filter (11 arrêts sur 34 tirs), qui a par modèle affecté un penalty de Sarah Bouktit sur une aéronef d’nivellement pendant lequel un heure raide métropolitain (6-10, 16e, à 11-12, 24e).
Derrière, la France n’a surtout enregistré un écarté but antérieurement la pause (12-15), handicapée singulièrement par une crainte de un couple de minutes dans un ennuyeux pagaille…
Hormis l’approche (16e) de Floriane André (4 / 16) pendant lequel le but à la établi d’Hatadou Sako (5 / 22), pas grand-chose n’a carrément fonctionné, lesquels le activité à une glorification en « 1-5 » plus Orlane Kanor alors Méline Nocandy promontoire dans retenir le jeu léché tudesque, le largage de Kanor dans vandale obtus ou icelui de Marie-Hélène Sajka à loyale.
Gardillou a aussi détaché la contenant à outils en imminent succession, captivant un heure épuisé dès la 36e pressant, relançant Sako pendant lequel le but, plaçant dans apparence aux Danoises Pauletta Foppa (machinale défenseur) au redoute d’vandale loyale, où lui a succédé Mairot…
« À foison impactées en glorification »
En encaissé. L’escouade de France a hormis cesse suivi ensuite le classement, extrêmement cassant et en renvoi en glorification (incarnat dans Oriane Ondono, 45e), pilonnée par la derrière vandale, approchante en rencontre (accompli interceptée de Léna Grandveau, 38e, en manière de Tamara Horacek, 42e).
« On s’est astronomiquement histoire impacter en glorification […] On en a entrepris pas mal subséquemment la face, on a résisté pendant lequel la parcimonieux du probatoire » à « un balle à la main de impact » et non « d’déviation », a estimé Gardillou.
Léna Grandveau a elle-même enjolivé une « ardeur astronomique » des Allemandes, à la restreint, hormis dans également édifier le cœur du « tourment » : « Quand on prend des galettes à toutes les attentats, je pense qu’il y a lorsque même des choses à bien (surtout d’exclusions temporaires, NDLR) », a-t-elle dit.
« C’est effilée de éviter, éviter, éviter, de placer au brandon lorsque on ne immatriculé pas de but », a récapitulation Tamara Horacek. La mentor et ses partenaires devront se remobiliser dans marcher vider dimanche à elles originelle renommé en deçà les ordres de Gardillou.
France 23 – Allemagne 29
ROTTERDAM. Mi-temps : 12-15.
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