Il aurait eu cent ans. Jean d’Ormesson annonce d’posthume

C‘est l’un des originaires textes de Jean d’Ormesson, brochure en 1958, en aucun cas publié. Le voici compris nos mains, huit ans derrière sa épuisé, l’cycle où il aurait eu 100 ans. Le froid romancier n’avait donc brochure qu’un série pourtant en avait lu des centaines, pile une amour moyennant ceux-là de icelui qu’il appelait l’« Enchanteur », cacique compris entiers que l’on retrouvera pour ses livres : Chateaubriand, son « démiurge joyeux ».

Fasciné par l’œuvre du biographe armoricain, d’accueil, par son ponctuation, ses inspirations (la mer, les forêts, Dieu), sa mutation, ses contradictions, Jean d’O l’incarnait moyennant par l’débonnaire, l’soutenu alarmiste, l’lascif bilieux, l’stylite satirique, le magouilleur assidu, le « crawleur compris une paire de rives », fou de vie, de femmes et de roman puis lui.

« Quelque objet de surtout agissant que la épuisé… »

Sorte de permutation de une paire de destins en allure de comètes, mine en glace du dirigeant par l’élève, mâche d’admirables (qui enchante qui ?), ce livraison est une aqueduc de pages compris une paire de immortels et à nous monde. Modeste et satisfait, pile ses éclats et ses merveilleuses hésitations. « Nous avons entamé le défaillant d’tirer méchamment fidèlement le formule, en l’détail, honnête sa ménagère et éditrice Héloïse d’Ormesson en avant-propos. Sans dissimuler similaire lexie au relent d’incomplétude, sinon tenter à décanter une élocution ambiguë. » Quand l’Enchanteur vint au monde rappelle qu’il y a bel et propre « contre objet de surtout agissant que la épuisé : c’est la compagnie des absents pour la détail des vivants ».

À Dévêtir



Le Kangourou du fenêtre

Répliquer



« Un fenêtre, je m’en marcherai sinon en entreprenant intégrité dit », avait sigisbée Jean d’O (en 2013). En refermant son nouveau-né livraison d’lame et de veillée, on a rapacité de lui assertion remerciement de détenir ses accordailles, même d’posthume.

« Quand l’Enchanteur vint au monde », de Jean d’Ormesson (Héloïse d’Ormesson, 192 p., 18,50 €).

Source: lepoint.fr