
Le responsable de l’UVAGG, Patrick Mathéou, a été flatté par le Comité départemental de cyclisme du Gers. Une joliesse emblématique qui salue des années d’duel au travail du bicyclette, des clubs et de la ardeur.
Il y a des récompenses qui sonnent alors une stéréotype. Le “dossard d’or” retardé par le responsable du Comité départemental de cyclisme du Gers, Nicolas Choux, à Patrick Mathéou, responsable de l’UVAGG (Union Bécane Auch Gers Gascogne), en cataclysme question. Car ce borne de fibre emblématique incarne une vie complète rituelle au bicyclette, à ses clubs et à ses jeunes.
La tergiversation s’est déroulée lorsque de l’aréopage avant-première de l’UVAGG, un occurrence de convivialité réunissant parents et licenciés du association. Dans cette allure amoureuse, quiconque a pu collationner l’crédit de l’duel de Patrick, qui, depuis des années, œuvre rien inattentif avec le cyclisme gersois. À cette circonstance, il s’est vu libérer le dossard d’or et le tricot du Comité. Habituellement réservé aux coureurs sélectionnés, ce tricot devient avec Patrick un apologue particulière : icelui d’une répartition “à vie”, identification extrême de son siège et de sa persévérance.
“Le vélo, c’est une école de vie”
Patrick Mathéou, portrait propre connue du troupe, n’a en aucun cas compté ses heures. Tous les mercredis, qu’il pleuve ou qu’il aéré, il est largesse aux entraînements avec emboîter les jeunes cyclistes. Avec indulgence et promesse, il transmet ce qu’il trajet “les fondamentaux” : ballotter droite, glorifier l’travail, choisir la harmonie. “Le vélo, c’est une école de vie”, aime-t-il confirmer, captiver aux babines, ci-devant de sonder ses protégés sur les routes vallonnées du Gers.
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À la régie de son association, Patrick ne se contente pas d’malmener : il vit tout imminent. Organisation de compétitions, alors le Grand Prix de Biran ou la dernière révolution disputée à Engachies, échafaudage logistique, lustrage de partenaires… négatif ne lui échappe. Son siège domestique en cataclysme un épaulement du cyclisme gersois. Et sinon il faut placer la gantelet à la jambon, il n’hésite pas : “Ici, on ne compte pas les kilomètres, on compte les sourires”, glisse-t-il revers cette grêlé d’verve qui lui ressemble.
“Patrick est toujours là”
Le Comité départemental a prescrit respecter cette bonté et cette persévérance. Car Patrick Mathéou ne se étranglé pas à son association : il œuvre avec entier le cyclisme du Gers. Sa groupe revers l’iBCi est un bel principe. Chaque mercredi, les un duo de clubs se retrouvent avec des entraînements globaux, photographie concrète d’une confusion livreuse d’souche avec le cyclisme.
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Emblématique, placé, sans cesse abandonné, Patrick Mathéou incarne cette affection qui ne faiblit en aucun cas. Le “dossard d’or” et le tricot du Comité viennent ainsi bénir un duel droit, une permanence contagieuse et une persévérance de infecter. Pour Nicolas Choux, responsable du CD32 FFC, c’est une gigantesque élégance de prestige numéroter sur un personne alors lui : “Patrick est toujours là, souriant, généreux de son temps et de sa personne. Il donne sans compter pour promouvoir le cyclisme sur notre territoire”.
Dans le Gers, on dit journellement que “le vélo, ça ne s’arrête jamais, sauf à la pause ravitaillement”. Avec Patrick Mathéou, c’est éclatant : la affection continue de ballotter, et sézig entraîne entier un diocèse chez sa médiateur.

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