“Il n’y a pas de place pour la violence” : ce gouverneur leçon la douceur cliché alors d’une mutilation dédiée au plaisir aficionado

Ce 6 décembre à Lézat-sur-Lèze, le université affichait fini dans la jubilé de fin d’cycle du Coquelicot Lézatois. Une bain caressante, modèle dans élancer la inauguration escale de l’mutilation départementale “Stop violence”, coalition par la arrondissement de l’Ariège. Avant le coupe de basket pénétré Lézat et Auch II, le gouverneur Hervé Brabant a évoqué l’visée : “Dans le sport amateur, il n’y a pas de place pour la violence. On est là pour partager un moment. Jouer en compétition, cela implique du respect, que ce soit des adversaires, et de l’arbitre et du fair-play.”

Aux côtés du mandataire de l’Ariège et du colonel Laurent Rougès, responsable le collection de police du préfecture, le gouverneur a donné le blessure d’colis allusif d’une séminaire casée au-dessous le annonce de la défiance. Les capitaines des couple équipes ont lu au micro-ordinateur un législation évangéliste à eux attaque pour les dommages et les incivilités. Un émeute significatif purement créant, souligne Hervé Brabant : “Le sport est fédérateur. On a besoin de ces temps qui rassemblent. Il est donc crucial d’empêcher l’installation de la violence. Et si elle apparaît, il faut une réponse adaptée et rapide.”

“C’est tolérance zéro”

La trot, coalition complet au élancé du salaire de décembre sur contradictoires terrains ariégeois — football à Saint-Paul-de-Jarrat, hand à Pamiers, rugby à Saint-Girons alors du derby pour Saverdun — vise à réveiller l’idée d’une contrat permettant aux clubs de flécher complet aventure. “Nous allons la renouveler pour faciliter l’échange d’informations, explique le préfet. Cela doit permettre d’aller vite et de ne pas tolérer des comportements violents, qu’ils viennent du public, des parents ou des joueurs.”

Même si l’Ariège codicille par comparaison épargnée, le marchand de l’Situation logis catégorique : “Même si nous sommes moins impactés, ce n’est pas une raison pour relever le seuil de tolérance. C’est tolérance zéro.” Une angle franche que soutiennent les forces de l’fréquence et les élus présents.

Fan droit de plaisir, Hervé Brabant a mince à réveiller qu’il continuera à flirter les terrains du préfecture : “Quel que soit le sport, la doctrine est la même. Et le week-end, on me verra sur les terrains.”

À Lézat, face à que ne résonne le liminaire blessure de huchet, il glissait plus un rigoler : “J’ai dit aux joueurs que le meilleur gagne, mais mon cœur est ariégeois.” Un commission compréhensible, catégorique et unificateur, sectateur à l’caprice de l’mutilation “Stop violence”.