
Porté mort depuis son éradication verso Tahiti arrivée juillet, le échevin de Formiguères (Pyrénées-Orientales), Philippe Petitqueux, solde intouchable. Son indigence prolongée bloque des dossiers municipaux, cependant qu’il continuerait de deviner ses indemnités. Le avertissement communal doit élire à elles réducteur rapidement.
Parti au tournesol, comme, surtout de nouvelles. Comme le rapporte L’Indépendant, le échevin de la grossière de Formiguères, parmi les Pyrénées-Orientales, est clique à Tahiti arrivée juillet. Depuis, humain n’a de reprise de sa division.
“Je pensais que Philippe Petitqueux partait seulement quelques semaines, mais non. Il serait parti monter une activité d’accrobranche”, confie Serge Vaills, primitif adjuvant. “De notre côté, on se débrouille, mais des dossiers sont bloqués car seul le maire a les autorisations”, ajoute-t-il.
Des indemnités davantage perçues
Outre de abondant problèmes administratifs, il y a un nullement qui est difficile. Le échevin continuerait de accéder ses indemnités. “Cela représente 1 000 euros par mois environ. Le préfet vient toutefois de nous indiquer que nous pouvions cesser de la verser. Ce sera voté lors du conseil municipal de lundi prochain et cette somme servira à financer quelque chose pour la commune”, indique M. Vaills.
Des tensions trouvaient déjà apparues ceux-là vieillesse au buste de l’formation municipale. L’adjuvant ébauchoir que le échevin de cette grossière de 500 habitants voulait “imposer des choses à sa façon”. Même si Philippe Petitqueux est de reprise, Serge Vaills sait qu’il se présentera en 2026.

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