“Impuissante face à la cruauté humaine” : subséquemment les menaces de refroidissement vers la matrone de Justine Braisaz-Bouchet, la FFS condamne

“La Fédération Française de Ski condamne avec la plus grande fermeté toute forme de violence ou de harcèlement, et rappelle qu’aucun de ces comportements n’a sa place ni dans le sport, ni dans la société”, a-t-elle ouvert pendant lequel un récépissé.

La FFS “exprime son plein soutien à Justine et à ses proches, et se tient à leurs côtés pour faire face à ces actes inqualifiables”, a-t-elle accessoire.

C’est la virtuose de l’pourvu de France féminine de biathlon Lou Jeanmonnot qui, vendredi hors champ d’une obstacle à Hochfilzen, en Autriche, a officiel l’régularité de similaires menaces vers la matrone de Justine Braisaz-Bouchet. Elle s’est dite dégoutée par le guérilla que sa équipière subissait pendant lequel le conteneur de l’indisponible de la maquillage à la aiguille banquier, pendant lequel auxquelles Julia Simon, divers affilié de l’pourvu de France, a été condamnée à trio paye de bagne comme attente et 15 000 euros d’pénalité.

Justine Braisaz-Bouchet ne s’est pas composée sur ces menaces.

“Honnêtement, ça me dégoûte”

“Là où moi je suis profondément déçue c’est pour Justine, je trouve qu’elle paye beaucoup trop cher quelque chose dont elle a été victime à un moment”, a déploré vendredi Jeanmonnot au calculateur de la ornement L’Equipe.

“La semaine dernière, elle a reçu des menaces contre sa fille. Honnêtement, ça me dégoûte. Je trouve que ce n’est pas normal que ça ait pris cette ampleur-là. On se sent un peu impuissante face à la cruauté humaine”, a-t-elle poursuivi en dénonçant itou un bruit chargé au rotoplot du bande femelle depuis trio ans et la dogme de l’indisponible.

“C’est lourd, ce n’est pas comme ça que j’aurais voulu vivre ma carrière en équipe de France A. J’aurais aimé que ce soit comme quand j’étais cadette, que j’aille à l’entraînement avec des copines, et heureuse d’y aller. Malheureusement, ce n’est pas le cas. Mais on a appris à faire avec”, a accessoire Jeanmonnot.

Dans son récépissé, la FFS rappelle “qu’aucune atteinte à la probité, au respect mutuel ou à la sécurité psychologique du collectif ne saurait être tolérée”.

“La protection des athlètes, des staffs techniques et médicaux, ainsi que la préservation d’un climat de confiance au sein des équipes de France, constituent une priorité absolue”, ajoute la FFS.