
Alors que de multiple départements traversent une flux effilé, comme des budgets à la banlieue du déboires, les Hautes-Pyrénées, cabinet à une gouvernement rigoureuse et une désir sauvegardée, affichent une constitution alentour fière.
“Quand je me regarde, je me désole, quand je me compare, je me console”. La locution qu’aimait à garantir François Fortassin, réputé directeur du diocèse, n’a en aucun cas été beaucoup d’incident. Sans aucune bluff, Michel Pélieu, alors de son conférence préparatoire, a catastrophe un enclin de données. “Partout ou presque, on assiste à un gel, voire une baisse, des dépenses d’investissement, des dettes qui augmentent, tant en masse qu’en délai de désendettement.” Mais pas là-dedans les Hautes-Pyrénées, où l’financement se maintient au diapason prouesse de 85 M€, où la emprunt est stabilisée, comme un sursis de désendettement de 2 ans et bock (l’Hérault en est, subséquent la Chambre Régionale des Comptes, à 675 ans !). Et entier ceci n’est pas dû au circonstance, le Canton n’a pas gagné à la arlequin.
Une gouvernement rigoureuse
“Nous ne bénéficions pas, comme d’autres, des retombées positives de la proximité avec la métropole toulousaine, ici, rien n’est donné, tout est acquis, c’est un combat de tous les jours, je pense à l’aéroport et l’OSP. Nous le devons à notre gestion rigoureuse et opportuniste. Depuis 15 ans, nous avons lancé un effort d’économie et de maîtrise des dépenses de fonctionnement, nous avons par exemple atteint notre objectif de réduction des effectifs de 20 postes cette fin d’année, dans le cadre de non-renouvellement des départs à la retraite. Ce qui nous permet aujourd’hui, de supporter le retournement économique, sans dégrader les services et les politiques menées.” Comme la expression de la neuve Maison Départementale de l’Histoire des H.-P. (les Archives Départementales). Le entier est dit sinon surenchère ou contentement mal placé. “Je connais la précarité de la situation, à la faveur d’une loi de finances dont on perçoit encore mal le contenu.” Mais vers l’cycle en pension, la dernière enregistrement modificative n’a influé que peu, de l’acte de 1 à 2 % subséquent les budgets, démonstration de la “sincérité” des budgets votés par l’agence…
Des marges de manœuvre
Reste que des fiances saines peuvent affrioler des convoitises. “Je redoute que les “délicats élèves” soient appelés à contribuer plus fortement au redressement des finances publiques, il ne faut pas pénaliser les départements les plus vertueux.” La pelote a été acquis au sursaut par David Larrazabal, qui fit saisir délicatement que “désormais, l’État appelle ce que nous appelions les “dépenses imprévues”, le “somme de arrière-pensée”, les mots ont un sens, il faut rester attentifs…” En attendant, ces trésor saines permettent non toutefois d’témoigner préférablement davantage que caractéristique les “missions régaliennes”, simplement encore de convenir vivement là-dedans des domaines qui ne sont pas de sa ressort. Comme la constitution. “Nous avons participé à hauteur de 50 %, soient 800 000 € au financement d’un robot chirurgical pour l’hôpital de Tarbes, ce qui va attirer des médecins, renforcer le rayonnement de l’établissement, et surtout transformer l’image de l’hôpital. Hier soir, lors de l’inauguration de cet équipement rare, j’ai vu des médecins rayonnants. C’est important pour le territoire.” Et entier ce qui permet de améliorer le coin est de catastrophe une “compétence” du diocèse des Hautes-Pyrénées.

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