
De ta faiblesse, fais une empesé ! S’il y a un parole qui convient à l’événement de sœur Samuelle, c’est ce dernier. Cette bigote vit en abbaye, non entre une puits, seulement entre la foyer d’un cité de 600 êtres sis entre l’Aube, en Champagne. Elle n’est pas recluse en autonomie, chez sézig dit, sézig est en rapport bruissement ses voisins et voisines, seulement l’caractéristique de son assiduité est marqué par « la ravissement, la dédicace et le enfantement entre un entourage de interclasse ». C’est de la sorte depuis sept à huit ans.
Avant ceci, sœur Samuelle a passé vingt ans entre une congrégation bigote où, raconte-t-elle, « je n’ai pas expérience que de belles choses, j’en suis avanie abîmée ». Puis, endéans six ans, sézig a trimé à Rome entre l’ouvroir de Marko Rupnik, congréganiste jésuite et carreleur slovène. Un baladin monstre d…
Source: lepoint.fr

Comments are closed.