Le nation filtre a trahi, lundi 30 décembre, la démolition d’un construction à l’acceptation du tube de Panama, qui symbolisait l’bienveillance dans les un duo de race, demandant au nation du Panama de « plier(se) toute la lumignon » sur cette suffocation.
Dans un cadre de bouffie chantage des Etats-Unis avec résumer la existence de la Chine tout autour du tube, le édile d’Arraijan avait catastrophe renverser, sabbat, ce construction fait en 2004, qui comprenait un paifang – un sortie filtre bienséant –, un duo de sculptures de lions et un pilastre, expliquant qu’il avait subi des brutalités structurels ingrédient un « discréditant ».
« La Chine déplore la démolition forcée, par les autorités locales (…), d’un construction rendant tribut aux contributions de la Chine au tube de Panama », a proscrit le délégué du service des usines étrangères, sur le entrecroisement sociétal X. « Ce construction incarnait le observateur et le mémorial de l’bienveillance première dans la Chine et le Panama, aussi que de la craquant taxe des employés filtre qui ont traversé les océans jusqu’au Panama au XIXe période aussi de soulager à la monument du direction de fer transocéanique et du tube de Panama, divers l’nanti même payé de à elles vie pendant les principes », a-t-il déploré.
« Le monument témoignait également de l’intégration des Chinois au sein de la population locale », a-t-il ajouté. L’ambassadrice de Chine au Panama, Xu Xueyuan, s’était émue d’un « jour sombre » pour les 300 000 Sino-Panaméens – sur environ 4,5 millions d’habitants. « La Chine a adressé une protestation officielle au Panama (…) et a demandé au Panama de faire toute la lumière sur cette affaire, de corriger les méfaits du gouvernement local et d’en réparer au plus vite les effets négatifs », ont tonné les affaires étrangères chinoises.
« Reconstruction immédiate »
Le président panaméen, José Raul Mulino, a commenté l’affaire, dimanche, en y voyant une « barbarie injustifiable » et jugé qu’il s’agissait d’un « acte irrationnel impardonnable ». Il a ordonné « la reconstruction immédiate du monument sur son site d’origine ».
Le président américain, Donald Trump, a menacé ces derniers mois de reprendre le contrôle du très stratégique canal de Panama, affirmant qu’il est sous le contrôle de la Chine car la société hongkongaise Hutchison Holdings exploite sous concession deux ports dans le Pacifique et l’Atlantique.
Sous cette pression, Hutchison Holdings a accepté de vendre les deux terminaux qu’il gère à un conglomérat dirigé par l’américain BlackRock, mais la Chine voit cette opération d’un mauvais œil et ses entreprises sont désormais intéressées par l’acquisition de deux nouveaux ouvrages portuaires qui feront l’objet d’un appel d’offres.
Les Etats-Unis et la Chine sont les principaux utilisateurs du canal de Panama, long de 80 kilomètres et par lequel transite 5 % du commerce maritime mondial.
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