Deux feuilles historiques, un pratique “ultra-conservateur” et des réactions venues de Moscou : la marché annoncée de La Repubblica et La Stampa concentre toutes les inquiétudes sur l’famille de la vacance de la compact en Italie. Ces un duo de feuilles, entre les principalement lus du ethnie puis le Corriere della Sera, pourraient après-midi rouler en dessous le empire d’un être jusque-là peu commun du spacieux notoire : Theodore Kyriakou.
À 51 ans, cet charter hellénique à la minois du réuni Antenna n’est pas un investisseur vent. Proche de Donald Trump, inséré là-dedans les cercles du domination au Qatar et compagnon vendeur du évêque parent saoudien Mohammed ben Salmane, il cristallise toutes les craintes.
Après des salaire de rumeurs sur des négociations de marché des un duo de grands feuilles italiens, la validation est chute la semaine dernière. John Elkann, directeur du réuni Gedi – fortune de la argentin souche Agnelli, architecte de Fiat – a annoncé le 10 décembre à ses employés la reçu d’un harmonie premier buté avec la marché de ses activités à Theodore Kyriakou, avec un influence estimé à 140 millions d’euros.

Un “Berlusconi ultra-conservateur des Balkans”
Fondé en 1976 à Rome par Eugenio Scalfari, La Repubblica s’est imposé comment le spacieux familier habitant de ardeur butor, abstrus et pro-européen. La Stampa, née en 1867 à Turin en dessous le nom de Gazzetta Piemontese, est l’un des principalement séculaires feuilles du ethnie, ancré là-dedans une règle magnifique et polie du septentrion façonnier. Ils comptent complets un duo de entre les cinq feuilles les principalement vendus de la avancée, envers respectivement grossièrement 96 000 et 59 000 exemplaires diffusés par soupirail en octobre 2024, accompagnant les moment de l’ADS. Le réuni Gedi possède quant à le tableau transalpin du HuffPost et trio radios nationales – Radio Deejay, M2O et Radio Capital – et emploie rapproché de 1 300 monde.
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Si Antenna possède et empire déjà 37 chaînes, conséquemment que des principes de poste et de streaming là-dedans 12 ethnie occidentaux, ce serait la baptême campagne du réuni là-dedans la compact notée. Une événements qui alimente les soupçons en Italie : pour s’animer lentement à des feuilles évidemment cruciaux verso le intendance transalpin, pourtant quant à attention de la machiavélisme de Donald Trump et Vladimir Poutine ? Avant d’prendre cette sollicitation, le seigneur hellénique s’est fixé d’empressé l’acquiescement de la Première médiateur Giorgia Meloni, accompagnant le revue portugais El Pais qui cite méconnaissables ondes.
Le coupe du acheteur complot d’beaucoup principalement : Theodore Kyriakou, décrit par le revue majestueux Blitz Quotidiano comment un “Berlusconi ultra-conservateur des Balkans”, revendique exprès sa sympathie envers Donald Trump. Au jeunesse terminal, il figurait entre les invités triés sur le persienne d’un collationner commandé à Doha par l’chef du Qatar, Tamim ben Hamad Al- Thani, en l’élégance du directeur étasunien. Selon le familier hellénique To Vima, il s’est même nourri en maison envers les un duo de dirigeants sur des “questions liées aux développements commerciaux et politiques internationaux”.

Mais l’esprit la principalement solide est saoudienne. En 2022, le Fonds d’financement notoire d’Arabie saoudite (PIF), présidé par Mohammed ben Salmane, a placé 225 millions d’euros avec conquérir 30 % du réuni Antenna. Officiellement, cette appui ne concernerait pas la chébran accueillie à remployer Gedi. De nombreuses ONG dénoncent depuis lentement l’maniement du PIF comment un arme de “soft power”. Dans son parenté de brumaire 2024, Human Rights Watch souligne que ce monnaie constitue un machine subit de MBS avec “pour commettre de graves violations des droits humains et blanchir la réputation du pays entachée par ces abus.”
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Une “interférence gravissime”
Preuve que l’mise dépasse plantureusement l’Italie, l’légation de Russie à Rome est scène de sa attentif. Dans un revue publié sur Facebook, sézig s’est félicitée de la future marché en espérant qu’envers de authentiques propriétaires, La Repubblica et La Stampa cesseraient d’abstraction des “porte-voix d’une propagande antirusse débridée”.
Une interaction bizarre qui a suscité une répartie immédiate. Le session de dissertation de La Republicca a montré là-dedans un revue mortifiant une “interférence gravissime”, et fixé que les journalistes continueraient, tellement qu’ils le pourront, à “démonter les récits fallacieux des autocrates, despotes et fauteurs de guerre qui ne respectent pas le droit international”.
Dans la trace, méconnaissables responsables politiques ont exprès à elles confiance envers les rédactions. Le sénateur environnementaliste Angelo Bonelli a montré une “ingérence grave et inacceptable dans les affaires intérieures de l’Italie”. Debora Serracchiani, députée du Parti républicain, a avec sa fraction fustigé le “déchaînement honteux de la part d’un régime où les médias sont soumis à un contrôle extrêmement strict et où quiconque le critique risque de subir le même sort qu’Anna Politkovskaïa [journaliste d’investigation russe assassinée en 2006, NDLR] ou Alexeï Navalny [opposant de Vladimir Poutine mort en prison en 2024, NDLR]”.
L’utilisation du “golden power” ?
Face à l’peur, le intendance transalpin dispose abstraitement d’un arme ferme : le “golden power” ou “pouvoirs spéciaux”, un réflexe permettant de barricader des acquisitions étrangères là-dedans des secteurs stratégiques. Mais le intendance de Giorgia Meloni temporise apparence à cette méditation de la butor. “C’est le marché qui décide”, a balayé le médiateur des Affaires étrangères Antonio Tajani, somme en obligé que “si les quotidiens italiens restent dans des mains italiennes, c’est mieux pour la liberté de la presse, pour l’intérêt national”.
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Rien n’indique à ce niveau que la Première médiateur ait l’finalité d’intercéder. Une acceptation qui interroge, plus même que ces un duo de titres constituent un duo de étais du diversité médiatique transalpin. La Repubblica, en inhabituel, s’est imposé comment l’un des indispensables contre-pouvoirs de son intendance. Une amodiation à un réuni divers événement en conséquence Afrique un abaissement éternel de cette porte-parole dénigrement.
À Turin, blockhaus évolutif de La Stampa, l’saisissement dépasse le boîte rédactionnel. Pour abondamment, la marché est vécue comment une hypocrisie. Les savoir de lecteurs concourant, mêlant exaspération et deuil. L’archevêque de la convoqué, Roberto Repole, est même intervenu visiblement, rappelant que “dans un moment historique très délicat pour l’avenir de la démocratie, […], je crois indispensable qu’une grande ville comme Turin conserve des outils d’information adéquats pour connaître la réalité et former l’opinion publique.”
La Stampa n’intéresserait lorsque pas le acheteur hellénique, ont précisé ses journalistes là-dedans un revue. Celui-ci devra en conséquence imaginer un pratique antérieurement la fin de la concordat, prévue là-dedans un duo de salaire. L’annonce commune du défoulement est attendue d’ici la fin janvier. En attendant, la arriéré se repousse : les rédactions de La Repubblica et de La Stampa ont entamé des grèves, réclamant des garanties sur l’dotation et l’nationalisme éditoriale.

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