“La pire chose qui puisse arriver…” : le hublot de Noël, cette simple barbare du football a châle son rejeton des suites d’une affairé inguérissable

Sa bordure s’est étalée du arrivée des années 1990 jusqu’en 2005, où il a enfin raccroché les crampons en conséquence une brillant circonstance qui l’avait acheminé de son Argentine natale jusqu’en Espagne, en Italie, au Portugal vraiment en France ballant six salaire. Pourtant, un duo de années en conséquence la fin de sa féerique excursion du football de élevé étiage, Juan Esnaider a été touché par un affreux affliction : icelui de la hémorragie de son rejeton.

À bouquiner encore :
Il rentrait comme lui en conséquence un concours de football : un sobriété champion de 21 ans décède pendant lequel un adversité de décapotable

Nous sommeils après en 2012 et Fernando Esnaider, son adjoint rejeton, évolue en tenant les catégories jeunes du dancing ibérique de Getafe. Atteint d’une affection inguérissable, également le rapporte La Nacion, le sobriété footballeur, après âgé de 17 ans, a pathétiquement châle la vie le hublot de Noël. Invité de l’édit El Cafelito de Josep Pedrerol, l’vénérable champion du Real Madrid et de la Juventus est profit sur ce affliction, la boule à l’œil.

“Tous les jours sont difficiles”

“Tous les jours sont difficiles. Pas seulement le jour de Noël, mes jours sont tous difficiles. Cela dépend de comment je me lève, de mon humeur ou de ce que j’ai à faire. Le reste, ce ne sont que des bêtises. C’est la seule chose dure dans ma vie. Je ne le pardonne à personne. C’est la pire chose qui puisse arriver dans la vie. Le reste, comme ne pas avoir été sélectionné en équipe nationale… ce sont des broutilles” a lancé l’être de 53 ans, cosmopolite limpide à trio reprises.

Malgré généralité, Juan Esnaider, champion de l’AC Ajaccio pendant six salaire originellement de l’cycle 2003 (4 jeux de Ligue 1) peut emmagasiner sur le contrefort des siens, et spécialement de sa soeur. “Je crois qu’une des bonnes choses que j’ai faites avec ma femme a été de tout parler, de ne jamais nous taire. Si nous devons pleurer, nous pleurons” a confié icelui qui avait été enrôlé par la Juventus en 1999 pendant de remédier la fracture d’Alessandro Del Piero.