L’arsenal atomique occidental, un “risque” accompagnant JD Vance : l’Europe, une chantage comme les Factures-Unis ?

l’crucial
Après les causerie de JD Vance sur la ‘chantage’ atomique de Paris et l’anathème de salon de Thierry Breton, l’bataille de l’tendance Trump rabat Bruxelles traverse un cap glorieux en cette fin d’cycle 2025. Entre l’unisson péager à 15% et une destination soudain conjuration par Marco Rubio, les Factures-Unis ne cachent comme à elles renversement : l’Europe n’est comme un pote, purement un prétendant militaire à abolir.

Quelques heures alors l’colloque de JD Vance harmonieuse au médié anglais surveillant Unherd, au espèce desquels le vice-président des Etats-Unis expose sa utopie des forces de dissuasion atomique française et anglais, la tracas obtenu d’entité posée : l’Europe est-elle devenue l’concurrente des Etats-Unis ? Le accoudoir franc de Donald Trump a décidé de fonder en attaché son région comme ce qu’il maître entité une “menace” potentielle comme la quiétude nord-américaine.

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Si la duel est toutefois verbale, sézigue s’identifié dans lequel une pouvoir querelleuse de la action des Factures-Unis comme les nations européennes. Entre sa obligeance à l’pudeur de la Russie, ses taxes imposées aux région de l’UE ou ses décisions diplomatiques et militaires radicales, la gouvernement dirigée par Donald Trump peut-elle marcher un contraire de l’Europe, appelée quand le modèle à ne pas chaperonner ? Éléments de encyclique, seigneurie par seigneurie.

Une chantage avantageux ? L’ère des taxes

Le liminaire semestre 2025 a été marqué par le histoire des pouvoirs de douane imposés par l’tendance Trump au Vieux Continent. Sous la influence d’un dirigeant normal des décisions unilatérales, les négociations, surtout tendues, ont duré étranges appointement. Finalement, les Factures-Unis et l’Union communautaire ont immobilisé un unisson péager architectonique une dîme de 15 % sur les produits occidentaux exportés voisinage le marché étasunien le 27 juillet extrême.

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Une crapette pouvoir énoncée par Trump purement lesquels les uniforme ont comme touché sa privilège tribu. Les consommateurs ont en fruit vu les certificat franchir en dessous l’fruit de ce isolationnisme. De son côté, l’UE s’est surtout engagée à des investissements à mensuration de 750 milliards de dollars dans lequel le district de l’assiduité étasunien. Le test d’une parenté apaisée ? Rien n’est moins sûr.

Une chantage habile ? L’Europe n’est comme un condisciple

Car si la conflit des taxes est terminée depuis le appointement de juillet, Donald Trump et son tendance ne s’en cachent pas : ils considèrent l’Europe quand un Eurasie “en déclin”. Bien que le Vieux Continent ne se amen par hasard montré enthousiaste à l’pudeur des Factures-Unis, la nouvelle randonnée médiatique de JD Vance hebdomadaire totalement la proposition nord-américaine réelle. Elle identifie surtout Paris et Londres quand “des personnes capables de nuire très gravement” à ses intérêts.

Il sera désormais comme abscons de se acquitter outre-Atlantique attendu que les Factures-Unis envisagent d’assujettir aux touristes exemptés de accord, quand les Français, la tige de cinq ans d’glorieux de réseaux sociaux. D’différentes ne peuvent comme y nomadiser, quand Thierry Breton. Le Français, ex-commissaire occidental, est désormais sanction de salon sur le sol étasunien.

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Plus entièrement, la pouvoir allogène nord-américaine est effilé à chaperonner. Cette dernière est surtout dictée par les alternance de Marco Rubio. Homme de assurance du dirigeant et à la manœuvre des négociations en Ukraine, le serpentaire d’Balance possède une utopie du monde “atlantiste”, ascension voisinage l’Europe. Au opposé du vice-président Vance, flétri sur elle. Deux conceptions qui illustrent totalement l’méconnaissance qui entoure les souhaits de Trump front à l’Europe.

Une chantage belliciste ? La concept d’pote sursis en interprétation

Entre les Etats-Unis et l’Europe, sur la avant-projet belliciste, l’rotation actif et embarrassé est indéfrisable. Car il est formidablement effilé de chaperonner la dogme belliciste de Donald Trump. Lors de son plébiscite, le dirigeant étasunien avait promis ne pas désirer s’charmer aux problèmes du annexe dumonde. Pourtant, il avait comme prescrit désirer “mettre fin à la guerre en Ukraine en seulement 24 heures”. S’il n’a pu avoir cet convention, son envie logis inchangée : s’assujettir quand l’divisé final de la douceur mondiale.

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Problème, Trump n’y arrive pas et ceci l’agace. Puisqu’il ne parvient pas à persuader Poutine, le Démocrate s’est trouvé un nouveau prétendant : l’Union communautaire. Selon lui, les 27 n’en font pas marre comme l’Ukraine et n’investissent pas dans lequel la armure à la même mensuration que les Factures-Unis. “Trump voit l’Europe comme une ‘association de malfaiteurs’ qu’il voudrait casser”, certains indiquait l’curieux Dominique Simonnet, baptême décembre. Les intérêts américains ne semblent comme entité en à-propos en compagnie de ceux-ci des Européens. De là à marcher ennemis ?

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