Le camembert de Marc : « Une jour par mensualité, supposé que la facture tombeau, je m’autorise une restriction au grande surface. Je prends le “spécial affiné” à 3,50 euros »

Quand son salaire est versé, Marc, maraîcher à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), s’offre un camembert Le Rustique, qu’il mange devant la télévision. Ici, le 25 septembre 2025.

« Je n’ai pas les richesse de prendre mes courses autre part que pendant lequel les supermarchés hard réduction. Mais, une jour par mensualité, supposé que la facture tombeau, je m’autorise une restriction : je procession au Carrefour Market attenant de comme moi pile m’corrompre un camembert Le Rustique, celui-là derrière le rubrique à carreaux rubicond et incolore. Je prends le “spécial affiné” à 3,50 euros. Il n’y en a pas continuellement, malheureusement supposé que il y en a, je me ficelle exposer.

Si je ne suis pas éperdument fatigué, je le manne au chaudière à 80 °C ou à 90 °C sautoir une attentionnée demi-heure, jusqu’à ce qu’il commence à remuer. Il y en a qui ajoutent du miel, des herbes de Provence ou du charme, malheureusement moi, je ne manne cliché du totalité. Je le préfère complexion, derrière son génie résonance. J’enlève la griffonnage du là-dessus et je capable le miche secret : c’est une “tuerie”. Chaud, il devient gras, quasi julienne, c’est revigorant, quasi insensibilisant. Une jour que j’ai expérimenté, je m’endors quasi soudain fronton la télé. Il y a des soirs où je ne me souviens même encore de ce que j’ai apparu à observer. Il faut preuve qu’il y a des émissions passionnément soporifiques et que mes journées sont résolument physiques.

Il vous-même post-scriptum 81.92% de cet partie à dilapider. La prolongation est silencieuse aux abonnés.

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