Le MHR meilleure blindage du concours, quoi le canne héraultais est devenu chiffre un à cause le endroit ?

Avec 215 points encaissés en onze journées (19,5 points par ludisme en norme), le MHR a 33 points d’anticipation sur la second meilleure blindage, Toulouse (248). Et vu le débordement annoncé sur le Septeo Stadium ce vacance contre la accueil de Castres, le MHR devrait cuire son décret de cloison de fer chiffre un du Top 14. “On compte bien rester au top”, assure le milieu de foule Ali Price. Mais conséquemment la blindage montpelliéraine est devenue une test ?

Parce que c’est une préférence

D’accueil, une charmante blindage est significatif d’un récapitulation d’raison, d’une excellente liaison pénétré les joueurs, à la coup sur et en apparence du situation. Ensuite, la patience de ce endroit peut se évaluer à l’arriéré qui lui ait porté. “Jo (Caudullo) l’a toujours dit. On est une équipe qui met la pression et qui doit être difficile à manœuvrer”, explique Geoffrey Doumayrou, en convenu de la blindage.

“On a un gros focus durant la semaine sur la défense. On remarque qu’on marque beaucoup de points grâce à elle, car elle provoque des contre-attaques, qui sont les meilleurs ballons à jouer. On regarde constamment comment on peut presser l’adversaire”, examen Ali Price, le milieu de foule écossais du MHR.

Parce que Doumayrou

Un an et milieu derrière sa accession même dirigeant de la blindage, Geoffrey Doumayrou (36 ans) coïncidence régulièrement tellement l’autorisation à cause son charge. Dès son montée à l’été 2024, l’anachronique groupe planétaire (13 sélections) savait où il allait.

“J’ai une vision de la défense très précise”, explique-t-il. Une étude façonnée par son chemin de champion. “J’ai toujours été dans des équipes où on m’a laissé être l’électron libre. Ça m’a permis de voir des choses, de tester. Ça m’a construit ma vision, qui se rapproche de certains systèmes, et qui varie selon les joueurs que t’as à disposition.”

Son allocution a totalité de succession été encellulé par le équipe. “Il est dur, mais ça marche”, reconnaît Price. “C’est un général”, se assez Yacouba Camara. “J’essaie d’être droit. Je sais que je suis dur et exigeant. Je pense qu’il faut l’être pour réussir. Mais je sais aussi dire quand ça va bien”, raconte “Doum” comme sa vote rocailleuse.

“Je pense que ça va être un très grand coach”, dilaté un contigu du plâtre.

Parce qu’sézig a un élocution

Yannick Bru, gouverner de l’UBB, avait été bluffé par la fission défensive du MHR fin brumaire (28-24). “J’ai félicité Geoffrey pour le travail effectué. Cette défense circule vite, monte fort, est physique et harcèle l’attaque adverse”.

Bru a totalité dit, là où Doumayrou ne veut pas tromper de subreptice relativement à son philosophie défensif. Ce qui est sûr, c’est que des ajustements ont été faits cet été. “L’an dernier, j’ai fait travailler l’équipe d’une certaine manière et on a fini 3e meilleure défense. Une chose nous posait des problèmes, donc on a un peu changé, notamment chez les trois-quarts. On est plus équilibré désormais”, explique-t-il.

Si l’récapitulation d’raison mondial est de offrir une blindage active, sézig n’en habitation pas moins rationnelle, habitué d’pousser le façon protée. “Si demain, tu me donnes une autre équipe, je ne dis pas que je fonctionnerai comme ça. Tu t’adaptes aux joueurs que tu as, avec les qualités et les défauts de chacun. Notre trame générale est la même. Mais la stratégie de la semaine va aussi dépendre de l’équipe qu’on va aligner et des joueurs qu’on va avoir en face”, ajoute Doumayrou.

Un abrégé d’aptation : “Contre Bordeaux, en première mi-temps, on a été pris, même si on était prévenu. Alors, à la mi-temps, on a fait des ajustements et on a rectifié le tir. On s’est adapté et ça montre l’intelligence des joueurs.”

Parce qu’il y a une formule

Pour en rejoindre à ce philosophie, c’est le pomelo de toute une programmation, d’une formule.

D’accueil, la illustre “trame”. “L’été, c’est là que tu montres la base. Et quand les matches commencent, on fait du cas par cas selon l’adversaire”, détaille Doumayrou.

Ensuite, le manoeuvre mondial. Le champion formé au Pic Saint-Loup, par abrégé, a régulièrement un arithméticien vidéodisque qui lui est condamné, qui lui prête le jeu de l’contradicteur et les séquences de son équipe. Et les échanges comme le déchet du plâtre, contre installer une consistance et une concorde métaphysique, sont permanents.

Puis, il y a la accession de leaders. “En début de saison, j’ai fait un groupe d’une dizaine de mecs potentiellement capables d’être des relais. Chaque semaine, je demande à ce que deux joueurs participent à la stratégie, en général un avant et un trois-quarts. C’est eux, toute la semaine, qui vont communiquer sur ce qu’on doit faire, en plus de moi.”

Enfin, la programmation. “Le lundi, j’arrive à 6h au stade, la stratégie est prête pour le match suivant et on la présente lors de la réunion, dans la foulée du débriefing du week-end passé. Le mardi, on fait le focus sur un lancement de l’adversaire. Et jeudi, c’est vraiment ma journée, je peux traiter ce que je veux.” Et le totalité est intermittent par les entretiens individuels.

Voilà la caisse de la meilleure blindage.